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[RP Solo][Flashback] 1577-1585

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Message par Alexandre Sam 30 Jan - 14:51

20 Mai 1577


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Dans la chambre de l'accouchée, deux femmes, des voisines de la librairie Bellanger, discutaient non loin du lit, là où la toute jeune mère se reposait de l'épreuve qu'elle venait de subir. La Maria venait de repartir, satisfaite du devoir accompli, ce qui dans ces conditions se révélait une œuvre extraordinaire. L'enfant se présentait dans une position plus que périlleuse, en siège, et il refusait de se retourner ou de se déplacer pour féliciter son passage. Durant des heures, la malheureuse avait enduré un supplice affreux et ses compagnes, tout en priant intérieurement, s'étaient efforcées de la rassurer mais croyaient que leur amie ne survivrait pas à ses couches. Finalement, à force de patience, accompagnées de sa sagesse et de son expertise, Maria avait su dégager le bébé pour le faire venir lentement, très lentement, dans le monde des vivants, et celui-ci avait alors poussé, quelques instants plus tard, son premier cri pendant que sa mère perdait connaissance.

Les deux femmes examinaient entre elles l'enfant emmailloté et commentaient entre elles sa maigreurs, sa petitesse ou la faiblesse de ses muscles. Cela se voyait que ce nouveau-né ne vivrait pas longtemps. Ou il ne serait pas solide. Le pauvre libraire Bellanger n'aurait pas la chance d'avoir un héritier comme il l'espérait. Au mieux, ce serait un garçon rachitique. de temps en temps, leurs regards se tournaient vers la mère, peinées.


"Quel malheur ! Souffrir comme ça, pour mettre au monde un avorton..."

***

Le lendemain, dans la journée, le libraire quitta son commerce pour se décider à remonter et à découvrir son fils. A cette pensée, l'homme s'arrêta au milieu de l'escalier et serra d'une main ferme la rampe. Ses doigts s'y cramponnaient. Ce n'était pas fils. C'était l'enfant d'un autre homme, un homme fécond, capable d'engendrer sans avoir à faire le moindre effort, sans même y songer. La douleur de son infertilité répandait en son âme et le laissa inerte, planté sur cette septième marche. Après plus d'un siècle à se transmettre de père en fils, à chérir les liens du sang, lui serait le dernier de son espèce. Il se rappelait autrefois de son propre père qui lui parlait parfois de sa mère morte en couches en le mettant tau monde, une année après leur mariage. Il lui disait que cela était une gloire pour une femme de périr en donnant naissance à un bel héritier, qu'il lui fallait être fier de sa mère. Romain Bellanger inspira difficilement. Il ne serait pourtant qu'un bourgeon stérile, inapte à al reproduction. Après plus de sept années à essayer de concevoir un enfant avec Rosina, ils avaient consulté des médecins et ceux-ci affirmaient unanimement que tout problème de fécondité venait de la femme. Quels sots ! Sa main serrait la rampe entre ses doigts avec une force qui en faisait blanchir les jointures. Il n'aurait jamais d'héritier. L'enfant né hier ne pourrait jamais lui rappeler autre chose que son échec à cette tâche. Il avait échoué à être le digne fils de son père.

Romain Bellanger inspira longuement et se décida à rassembler son courage. Il termina de monter l'escalier et s'aventura dans le couloir de l'appartement, à pas lent, pour rejoindre la chambre de celui qui était officiellement considéré comme son enfant. Il poussa la porte, surpassant l'hésitation qui le prenait encore, et découvrit sa belle-sœur devant le berceau.

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Rose Mercier, 33 ans

La femme se redressa en l'apercevant et lui adressa un sourire.

"Ton fils vient de s'endormir. Tu aurais pu me faire prévenir hier que Rosina accouchait ! C'est un collègue de Paul qui le lui a dit et qui est aussitôt venu me prévénir ! En plus, pauvre petit... Il était seul dans son lit. Cette pauvre Rosina se remet difficilement de ses couches."

"J'ai été un peu pris au dépourvu."

Ou il n'assumait pas cette naissance. Romain Bellanger n'était même pas certain de la réponse. Rose n'en tint pas rigueur et lui sourit.

"Je comprends. Tu étais bouleversé. Paul aussi, pour nos deux petites, les deux fois, il était perd, ik ne faisait que des choses stupides, ou oubliait l'essentiel."

Rose quitta la pièce pour le laisser seul avec le nouveau-né. L'homme s'approcha du berceau et fixa l'enfant endormi, les couvertures au-dessus de lui. Lors de ces derniers mois, il s'était promis d'être bon pour cet être qui allait sortir des entrailles de sa garce d'épouse, que celui-ci n'était pas responsable des agissements de sa mère, mais en le voyant aujourd'hui Romain Bellanger se rappelait cruellement ne pas en tête le père. Ses poings se serrèrent contre les cuisses. Ce n'était pas son fils. Ce ne ne serait jamais autre chose que son héritier.

***

Janvier 1579

La vie d'une jeune mère se révélait épuisante et Rosina ne savait jamais où donner de la tête durant toute la journée. En plus des soins à prodiguer à Alexandre, elle devait également veiller sur son beau-père. Elle éprouvait une joie cruelle, mais bien peu chrétienne, de le savoir cloué au lit depuis plusieurs années du fait de longues crises de gouttes plongées, dues aux excès de chairs dont il ne pouvait s'empêcher. Si son époux manifestait une indifférence froide à son égard, se couchant même à ses côtés, sans lui dire un mot, le vieillard crachait constamment son mépris quand elle venait lui apporter son repas ou lui apporter un bassin d'aisance. De ses lèvres sortaient chaque fois des paroles mordantes pour lui rappeler son adultère ou que son fils ne serait jamais en rien son petit-fils. De cette attitude, il avait gagné que Rosina ne venait le voir qu'une fois par jour, pour lui apporter une maigre soupe. Un besoin urgent ? Qu'il pisse dans ses draps !

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Rosina Bellanger, 31 ans

Tout en passant le balai, Rosina contempla avec attendrissement Alexandre qui rampait difficilement sur le plancher sur le plancher en essayant de récupérer le petit cheval en bois, monté sur roulettes, qui venait de lui échapper des mains. Sa sœur Rose lui avait offert le mois dernier, pour Noël, en déclarant que cela l'aiderait à se mettre enfin debout et à marcher. Selon son aînée, un enfant de seize mois qui ne savait pas se redresser ou conservait son équilibre montrait des signes inquiétant de retard moteur. Rose... La cadette soupira en songeant à sa sœur qui avait perdu son époux dans l'année qui venait de s'écouler. Ses filles se retrouvaient sans père, sans grand soutien. Pourvu que son frère Henri se montre généreux et accepte de les doter quand ces trois petites seraient en âge de se marier.

Brusquement, un bruit sourd la tira de ses pensées : Alexandre, qui essayait de se mettre debout, en prenant appui sur une chaise, venait de s'effondrer au sol. Elle lâcha aussitôt le balai et accourut pour le ramasser. Dans un premier temps, la mère apaisa ses pleurs, puis observa les possibles blessures. Rien, heureusement. Son fils se révélait étonnamment robuste en dépit de sa constitution fragile. Il avait fait trois maladies, durant lesquelles elle avait craint pour sa vie, mais s'était à chaque fois remis. Pourtant, le garçon d'une de ses voisines, né la même semaine qu'Alexandre, au corps bien plus solide que le sien, avait été emporté à cinq mois d'une mauvaise fièvre. Cette pensée flattait Rosina alors que ses lèvres embrassaient avec tendresse le front de son fils. Il ne mourrait pas. Non, pour être né d'une belle histoire d'amour, Dieu l'épargnerait et lui assurerait toujours sa
protection.

Dans les jours qui suivirent cette mauvaise chute, Rosina continuait à être hantée par les dires de sa sœur et finit par réussir à persuader son époux d'appeler un médecin pour examiner leur enfant. Le docteur Pérec vient une semaine plus tard et consacra beaucoup de temps à étudier l'anatomie d'Alexandre en palpant ses bras et ses jambes, ses muscles, puis en essayant de lui faire faire des exercices. D'abord, il le tint pour contrôler son équilibre et constata que ses jambes tremblaient, même aidé, puis que celui-ci s'effondrait dès que l'on le lâchait.


"Je crains, madame, que votre fils n'ait une atrophie de ses muscles. S'il en est ainsi, le remède serait de les faire tarvailler afin que ceux-ci se renforcent."

"De quelle manière ?"

"Ce sera un traitement douloureux, en revanche, mais c'est pour son bien."

Le médecin s'expliqua calmement, d'un air doux, désolé de ses directives qu'il se devait de donner pour aider cet enfant à s'épanouir.

***

Juin 1581

[RP Solo][Flashback] 1577-1585 Alex_511
Alexandre Bellanger 4 ans

"Non ! Maman ! Je ne veux pas !"

Rosina fixait son fils qui la suppliait de ne pas avoir recours à ce traitement inhumain. Comment lui en vouloir ? Cela se révélait atrocement douloureux. Il en pleurait même souvent. Malheureusement, elle devait le faire. Grâce à cette idée du docteur Pérec, Alexandre avait trouvé comment avoir de l'équilibre et savait faire quelques pas depuis l'année dernière. Quel bonheur elle avait ressenti de le voir marcher seul, peu après l'anniversaire de ses trois ans, au milieu de la cuisine. Il s'était redressé d'un coup, désireux d'aller chercher un de ses jouets.

"Je suis désolée, mon petit cœur, mais c'est pour ton bien."

Elle le berça tendrement et l'embrassant au front. Alexandre renifla, puis cessa de pleurer, se décidant à être courageux. Il s'allongea dans le lit et laissa sa mère attacher ses poignets et ses chevilles à chaque montant. Pendant une heure, chaque jour, ce traitement tirait sur les muscles faibles et les stimulait. Malgré son jeune âge, l'enfant se forçait à rester brave et à ne pas pleurer. Pourtant, souvent, les larmes coulaient. Rosina demeurait assise à ses côtés, à lui caresser les joues et les cheveux, à le réconforter, le tout en lui racontant des histoires dans l'espoir d'occuper son esprit et de faire passer plus vite le temps que durait cette torture.

Dès la fin de la séance, Rosina s'empressa de détacher son fils et lui frotta longuement les muscles qui venaient de longuement travailler. Elle lui demandait ensuite de rester allongée et de se reposer. Après le déjeuner, la mère venait le chercher et lui faisait réaliser dans le couloir différents exercices de marche. Alexandre tentait de s'appliquer de son mieux mais savait rarement faire plus de dix pas à la suite sans s'écrouler lamentablement.


"Pardon, maman."

Rosina ne le gronda pourtant jamais à chacune de ses chutes et le venait le relever avec douceur. L'enfant se sentait cependant pourtant coupable de la décevoir. Sa maman souhaitait tant le voir marcher normalement, comme elle, comme papa. Il se sentait misérable d'être aussi faible au point de ne pas savoir répondre à ses attentes.

"Ne t'inquiète pas, mon chéri, un jour, tu sauras marcher. Un jour, tu seras normal."

***

Août 1581


Le dîner avait été tendu. Malgré le silence, Alexandre l'avait senti et s'était senti incroyablement mal à l'aise. Son papa et sa amman se regardaient d'une manière étrange. Ils semblaient vouloir parler mais se retenait. Alors, ça devait le concerner. Il se glissa hors de son lit et s'empara des petites béquilles que son papa lui avait confectionné pour avancer jusque la porte. le garçonnet progressait lentement. D'abord, car son corps ne savait pas se mouvoir rapidement. Il lui fallait décomposer les pas et maintenir un équilibre toujours difficile à appréhender. Puis, il devait faire attention aux bruits des béquilles. Si papa et maman l'entendraient et il serait grondé.

Passant discrètement la tête par al porte ouverte de al cuisine, Alexandre écouta la conversation.


"Il ne progresse pas du tout."

" Mais il sait marcher maintenant, Romain !"

"Quelques pas, seuls. Ou avec ses béquilles. Les garçons de son âge, eux, courent !"

"Il faut sûrement du temps..."

"Tu appliques la méthode du docteur Pérec depuis trois ans ! Ca aurait dû faire effet ! Demain, un autre médecin viendra."

"Mais..."

"Cela suffit, femme. Fin de la conversation."

Depuis son poste d'observation, Alexandre tremblait. Qu'allait-il lui arriver demain ? Qu'allait-on lui faire ? I n'aimait déjà pas le traitement du  docteur Pérec. Et si le prochain faisait pire ? La mort dans l'âme, l'enfant repartit se coucher mais fut plusieurs heures sans parvenir à trouver le sommeil, l'esprit parasité par les paroles de son papa et ce qui allait arriver demain.


***

Octobre 1583

[RP Solo][Flashback] 1577-1585 Alex_211
Alexandre Bellanger, 6 ans

Agenouillé devant son lit, Alexandre priait de toutes les forces de son âme et suppliait le Seigneur de bien vouloir faire cesser les tortures que son corps subissait inlassablement chaque semaine. Depuis plus de trois ans, son père trouvait toujours le moyen de ramener u médecin, un guérisseur et toute personne qui affirmait posséder un moyen efficace de corriger l'infirmité de son fils. Au commencement, l'enfant se laissait faire, croyant que leurs idées pourraient marcher mais plus les essais se multipliaient, plus il comprenait que rien ne fonctionnerait. Il était né comme ça, c'est tout. Il ne marcherait pas comme les autres enfants. Pourquoi ses parents ne voulaient-ils pas l'accepter ?

Après sa prière, Alexandre se coucha. Le lendemain, il constata, soulagé, qu'aucun médecin ne semblait être annoncé. Peu après le petit-déjeuner, pendant que sa mère faisait le ménage, le garçon quitta l'appartement et descendit l'escalier, seul, comme un grand, et pénétra dans la librairie familiale. Son regard se promena sur les rayonnages et un sourire naquit sur son visage. Un jour, ce lieu serait à lui. Il serait assis devant le comptoir à deviser avec les clients et à les conseiller. Comme ses ancêtres avaient fait de même avant sa naissance.

"Papa !"

[RP Solo][Flashback] 1577-1585 August30
Romain Bellanger, libraire, 40 ans

Romain Bellanger venait de terminer une belle vente lorsqu'il se figea en entendant une voix ferme l'appeler. Il se tourna et jeta un regard sévère à cet enfant qu'il n'avait jamais pu accepter. A chaque fois que ses yeux se posaient dessus, il se rappelait que lui avait été incapable de concevoir un héritier.

"Qu'est-ce que tu fais ici ?"

La sévérité de son père l'effrayait un peu mais Alexandre rassembla son courage et s'avança.

"'Je ne veux plus voir de médecin !"

"Tu n'as qu'à marcher."

La répartie fut sèche et blessante.

"Mais je marche !"

"Sans tes béquilles. marche comme un enfant normal. Tant que tu auras ces béquilles des médecins viendront, Alexandre."

Devant cette décision sans appel, Alexandre n'insista pas et quitta la librairie pour remonter à l'étage. Une fois passé la porte, Rosina attendait derrière, inquiète. Elle le vit se décomposer, puis éclater en sanglots pour se jeter dans ses bras. La mère consola longtemps son enfant le cœur serré, surtout en percevant qu'il ne voulait plus voir de médecins. Elle pleura aussi. Les traitements de son époux étaient cruels et la plupart de ces prétendus n'avaient aucun autre but que de faire souffrir le patient. Surtout ce bain d'eau glacée du mois dernier qui devait, selon les dires, tétaniser les muscles pour que ceux-ci puissent retrouver un fonctionnement normal. Plus le temps passait, plus ces prétendus médecins n'avaient plus rien d'officiels. De vulgaires rebouteux qui ne cherchaient qu'à escroquer les familles en leur faisant croire détenir un remède miracle à l'infirmité. Tout ce que ferait, c'était de tuer son enfant.

Tuer son enfant.
Tuer son enfant qu'elle avait eu de son histoire avec le père Thierry.
Rosina ne pouvait laisser les choses se passer ainsi.


***

1 Janvier 1582

En ce premier jour de la nouvelle année, la librairie restait fermée et Romain Bellanger lisait à la table de la cuisine. Il se redressa, interloqué, en voyant son épouser habiller Alexandre et lui mettre un manteau. Le rouge colora aussitôt ses joues.

[RP Solo][Flashback] 1577-1585 Alex_c16
Alexandre Bellanger, 6 ans et demi

"Où vas-tu ? Tu as interdiction de sortir !"

Rosina se releva, serrant la main de son fils.

"Je me rends à l'orphelinat pour y confier Alexandre."

Le garçon se figea à cette phrase et éclata en sanglots.

"Non ! maman ! Non ! Ne m'abandonne pas ! Maman  ! Maman !"

De son côté, Romain Bellanger la fixa, incrédule.

"Pourquoi ?"

"Je ne te laisserai pas tuer mon fils. Tous ces médecins que tu fais venir ne l'approcheront. Choisis. Ou tu me jures que plus aucun médecin ne franchira le seuil de cette maison. Ou tu n'auras plus d'héritier. Que décides-tu ?"

Indifférent aux pleurs de l'enfant qui continuait de s'égosiller, le libraire contempla son épouse et comprit que celle-ci était réellement sérieuse. Voilà la seule manière dont elle avait réussi à protéger son fils et elle ne flancherait pas. Il enrageait. Il pensait avoir trouvé le moyen de la punir, grâce à cette infirmité, en faisant venir des médecins qui auraient de cesse de torturer le garçon mais celle-ci venait de trouver la parade. Même s'il l'empêchait de sortirait aujourd'hui, demain, quand il serait à la librairie, elle pourrait se rendre à l'orphelinat.

Il n'aurait plus d'héritier.
Son commerce n'aurait plus un successeur qui porterait son nom.
Elle l'avait piégé.
Il la détestait.
Il la haïssait.


"Soit."

Rosina le toisa, sévère.

"Jure sur ta librairie qu'aucun médecin ne viendra."

"Je jure sur ma librairie que plus un seul médecin ne viendra s'occuper d4alexandre."

Elle arbora un sourire de satisfaction et se pencha pour retirer le manteau de son fils.

"Cela suffit Alex, nous n'irons pas à l'orphelinat."

Alors que la mère réconfortait son enfant, Romain Bellanger les contemplait en silence s'enlacer de fort mauvaise humeur. une pensée lui vint  cependant. Finalement, cette idée d'orphelinat, cela serait une nouveau moyen de la faire souffrir. Elle le regretterait amèrement chantage, la sale garce.

FIN
Alexandre
Alexandre
Esclave domestique

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