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Donna Despina Cordélia O’GOWAN Y DIEGUEZ

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Message par Invité Jeu 12 Nov - 19:21



Despina Cordélia O’GOWAN Y DIEGUEZ


32 ans
La chasse, est ouverte…

DATE, LIEU DE NAISSANCE : 11 Novembre 1565 à Braktenn ▽ SIGNE ASTROLOGIQUE : /// ▽ ORIENTATION SEXUELLE : On ne demande pas ça à une dame… Ni à qui que se soit, d’ailleurs… ▽ CLASSE SOCIALE : Noble (Comtesse et Marquise)NATIONALITÉ : Ecossaise d’adoption, Espagnole d’Alliance, Monbrinienne de sang ▽ MÉTIER : Commerçante ▽ RÉFÉRENCE AVATAR : Moi.

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Qui es-tu ?

▽ Apparence ▽
[ Despina est une très belle femme, qui en a conscience. Une crinière de feu, un regard d’argent, la svelte panthère d’1m75, a comme on le dit vulgairement « Ce qu’il faut, ou il faut ». Son port de tête, et sa démarche chaloupé y participant grandement. Elle fait, par conséquent, tout pour se mettre le plus en valeur possible. Elle considère ses « mouchettes » comme un atout, et porte très souvent de longue robe aux couleurs chatoyante : champagne, rouge, rose, oranger, broder de fils d’or… Les bijoux n’étant pas en reste. Elle n’a qu’une petite routine vestimentaire, un accessoire plus qu’un bijou. Un tour de cou d’argent cerclé d’or, orné de perle, dont les gravures posent questions… D’ailleurs, si vous avez l’opportunité de la côtoyer, plus intimement, vous vous offusquerez peut-être des diverses cicatrices qui parcours son dos et : du « M » sur son épaule droite. ]

▽ Caractère ▽
[ Une bonne vivante, est le terme qui la résumerai le mieux – en apparence, pour ceux qui ne la connaisse pas – de l’eau de vie, la musique, du vin, des hommes, des bijoux, des vêtements, des belles choses… Ainsi semble s’articuler, ses principaux centres d’intérêts. Elle a un « tout petit » penchant donc, pour l’alcool. Pour le coup, elle a toujours une histoire à raconter, un souvenir, un voyage, surtout dans ses moments d’ivresse ou elle réussit, presque toujours, à ne pas basculer dans la vulgarité, d’ailleurs il peut souvent lui arriver de sortir cette citation de Falstaff, d’une pièce de Shakespeare « Un bon xérès a deux effets : d'abord, il monte au cerveau, éloigne les tristes et sottes pensées qui l'enténèbrent, délie la langue et l'esprit ; ensuite, il réchauffe le sang et en chasse la pusillanimité et la couardise » . En fait, c’est plutôt la mélancolie qui la gagne, alors si elle n’est pas soutenue par les bras d’un homme, c’est la musique, ou dans ses heures sombres : sa cinquedea et/ou sa rapière. Au-delà de cela, elle gère ses « affaires » d’une main de fer, dans un gant de velours, voir même de soie. Toujours très élégante, c’est une « dame » accompli, avec les manières qui vont avec, ou presque… Surtout si vous l’agacer. Alors ses paroles peuvent devenir, assez acerbes, et elle ne transige pas avec les mots. Elle reste cependant, capable d’un certain sang-froid, et d’une grande patience, surtout si cela sert ses intérêts. Amadouer les hommes et les faire tourner en bourrique, rendre jalouse leurs épouses, pourrait être qualifier de passe-temps pour elle, mais ce n’est qu’un masque, car si vous êtes attentif : regardez, approchez-vous, observez, et vous la verrez. Là, juste au fonds de son regard argenté. Il brûle, un feu, un brasier, qui la consume, chaque jour, un peu plus… ]

▽ Formation, talents, activités ▽
[ Donna O’GOWAN Y DIEGUEZ, ses aptitudes en : lecture, écriture et arithmétique élémentaire mise à part, est polyglotte. Elle parle donc couramment 3 langues - 4 pour un « cercle d’intime », qui appelle cela le « langage du corps ou de la séduction » - qui sont : l’anglais, le français et l’espagnole, ancienne proximité politique immédiate oblige. L’Italien, dans le cadre d’échanges commerciaux dit « artistiques ». Et enfin, des notions de Zakrosien, et Djerdanais qu’elle semble avoir, plus vite assimilé, cela toujours dans un but d’échange « culturel ». Elle possède une certaine expertise de la distillerie et de la vinification. Dans ses moments de calme et de solitude, elle affectionne le jeu de « Clarsach » - Ou Harpe celtique - mais aussi d’un instrument, très récemment inventé, appeler : violon, qu’elle acquit en Italie. Toutefois, selon son humeur, elle affectionne d’autres jeux, d’autres arts, comme celui du « jeu de dart » s’étant rapidement muer en lancer de dague, et celui de l’escrime à la rapière. ]

▽ Votre histoire ▽
[
P.F.M.D : « Qu’est-ce que cela veut dire ? », « Est-ce un code ? », « Sont-ce des initiales ? » Doña ou Donna Despina Cordélia O’GOWAN Y DIEGUEZ, comtesse de Midlothian et Marquise de Jerez. Qui est-ce ?

1581, après l'histoire de "l'Etat presbytérien" d’Écosse, Lord Bryant O'GOWAN comte de Midlothian, amène avec lui une fort belle jeune fille, aux attraits exotiques, d'un de ses voyages d'affaires. Un regard argenté, orné d'une crinière de feu, une nymphe d'une terre lointaine, âgé de 16 ans. Les commérages sont aller bon train : disant qu'elle venait d'un pays de sauvage, une fille de rien qu'il avait, par charité chrétienne, consenti à prendre sous son aile. D'autres, qu'il l'avait acheté à prix d'or à un Lupanar, d'un pays en bordure de l'empire Monbrinien, pour soulager ses soirs de solitude. Qui disait vrais, qui disait faux ? Ce que l'on sait de sûr, c'est ce que l'on en vit après.

Cachée comme dans une tour d'Ivoire pendant des mois, la jeune fille réapparue ce, aux regards du monde, en tant que : Miss Despina Cordelia O'GOWAN. Il l'avait adopté, à la surprise de la majorité ;
Car nul n'avait concrètement connu, que Bryant avait su négocier avec un des seigneurs de l'Empire Monbriniens, pour obtenir l'acte d'affranchissement de Despina, afin de pouvoir l'adopter. Son "père" donc, lui avait offert les services de professeurs particuliers, de précepteurs, qui lui apprirent les subtilités des lettres et chiffres, pendant 3 ans. Elle savait se montrait assidus - pendant un moment - mais il dû souvent changer de professeur, à mesure qu'ils succombaient au charme de la jeune femme en devenir - ce qui était le plus possible, passer sous silence - Bryant tentait donc de faire d'une totale illettré, une demoiselle de la bonne société, tentait. Elle avait un gros défaut donc : obtenir ce qu'elle voulait, de façon plus charnelle. Quand elle s'écartait du "droit chemin", Bryant lui rappelait son "objectif premier". Quel était-il ? Nulle ne le sait, mais la demoiselle reprenait ses études, avec encore plus d'ardeur.
Pour ses 17 ans, Bryant lui offrit un "clarsach". Depuis son arrivée, beaucoup de ceux qui l'ont vu et côtoyé, s'accordaient à dire que Miss O'GOWAN portait en son cœur, un lourd fardeau. Il fallait s'y attardait, regarder au-delà de son attrayante apparence, pour s'en rendre compte. Une charge bien lourde, qu'elle apaisait grâce à son clarsach, ou aux confesseurs que fit venir Bryant... 3, voir 4. Dont un rompit ses vœux, et un autre était "trop vieux"... O'GOWAN décida alors, de laisser le soin de l'apaiser, à la musique seule.

BRYANT:

Bientôt, la jeune femme fit la connaissance d'un plus vaste monde. D'abord celui de la classe ouvrière, parmi lesquels, elle se fondait parfaitement, et s'était initier au "jeu de dart". Une relation de copinage que le Patron, Bryant, ne voyait pas toujours d’un très bon œil. Elle semblait être leur rayon de soleil quand elle apparaissait, et Bryant connaissant ses ouvriers, et surtout sa fille, veilla au grain. Ils appréciaient énormément l'énergie, qu'elle apportait par sa présence, comme une brise soulageant leurs heures de dur labeur. Puis il y avait la classe "affaire" : riche notable, comte, baron, lord... Ou là encore, elle apportait une certaine couleur, à ces soirées mondaines. Ici, dans ce monde, il fallait savoir se tenir, être une Dame, une Lady. La différence qu'elle faisait entre ses deux mondes ? L'apparence. Riche ou pauvre, Ouvrier ou noble, ils portaient tous le même regard sur elle :  envieux et emplit de désir. Les "gentilshommes" le cachait mieux, mais probable qu'il ne serait plus aussi « gentil », si elle restait seule avec eux. Et ça... Elle adorait ça. Pourtant, c'est dans cette même période, dans une de ces soirées de riches hypocrites, qu'elle fit sa connaissance à lui : Leandro DIEGUEZ y GARCIA Marquis de Jerez.

LEANDRO:

Le temps qu'il restât en terre Écossaise, il le passa avec elle. C'est d'ailleurs avec lui, qu'elle échangea les "dart", contre des dagues, celui-ci lui ayant glissé au creux de l'oreille "los dardos son para las niñas, las dagas son para las mujeres", ce qui ne manqua évidemment pas, de faire son petit effet... Il lui faisait sentir, qu'elle était son égale. Pour Bryant, le jeune homme réussissait là où il avait échoué : lui faire oublier, son "objectif à long terme". Même s'il tiqua quelques peu, du fait qu'elle se fasse baptiser pour se marier à Léandro... Oui, Léandro, était catholique, et Bryant protestant. Il ne s'attendait pas non plus, à ce que ce petit oiseau blessé qu'il avait recueilli, dont il avait pris soin, s'envole si tôt loin de lui vers l'Espagne, en Andalousie.

Despina devint alors, "Doña Despina Cordélia O'GOWAN y DIEGUEZ Marquise de Jérez", épouse du fils d'un des plus importants importateurs de xérés. Dans les années qui suivirent, elle perdit malheureusement son "père", ce qui l'attrista profondément, puisqu'elle ne put assister aux funérailles de celui-ci. Il ne l'avait même pas prévenu, de son état de santé, de peur de gâcher ce bonheur, qu'elle avait si récemment obtenu. Elle apprit aussi, qu'elle était évidemment devenue, pleine héritière des possessions de Bryant, faisant d'elle la "comtesse de Midlothian". C'est suite à cela, après des mois à s'occuper de gérer les affaires de son père, que Leandro et elle firent un voyage en Italie. Cela lui permis de penser à autre chose. C'est à cet époque même, que Leandro et elle, firent la découverte de la région du "Chianti", en Toscane, et pour le coup de son Vin. Despina pour sa part, fit l'acquisition d'une "Cinquedea", sorte de dague Italienne, avec laquelle elle s'amusait à défier son mari au lancer de dague, l'élève dépassant le maître. Une méthode bien à elle, pour que Leandro lui montre qui est vraiment le maître... Dans leur intimité. Cependant, ce ne fut pas sa seule acquisition Italienne.

En effet, la musique tenait toujours une certaine place en son cœur, ayant toujours ce doux pouvoir d'apaisement sur elle. C'est ainsi qu'entre en scène, l'acquisition d'un tous nouvel instrument, tous juste inventé : le violon. Un nouvel instrument à corde, à son arc musical. Quand elle se saisissait de son archer, Leandro la laisser tranquille, il savait qu'elle en avait besoin, pourtant en rentrant en Espagne il avait dû de nouveau faire un choix. Se battre pour l'honneur de l'Espagne, en France, dans le Languedoc : c'était en 1590, elle a alors 25 ans. La jeune femme refuse de le laisser partir, ou du moins, pas sans elle. Ainsi elle l'accompagna, mais pour le bien de celle-ci, l'andalou entreprit de passer au-dessus du lancer de dagues, il fallait qu'elle puisse se défendre proportionnellement à ce qui les attendaient. Il lui enseigna donc l'escrime. Apprentissage dans lequel, elle se montra des plus sérieuse, elle ne voulait absolument pas être un boulet pour son mari, que celui-ci puisse s'acquitter de sa tâche militaire, le cœur léger... Mais surtout qu'il revienne. Qu'il revienne, et qu'ils repartent en Espagne, élever leur futur enfant, et le regarder courir à travers les vignes andalouses ! Oui, elle ne lui avait rien dit, de peur qu'il n'accepte pas qu'elle l'accompagne. Mais peut-être qu'il serait encore en vie, s'il lui avait dit, avant de partir...

Le jour, ou un officier vint lui annoncer le décès de Léandro, elle perdit tous ce qu'elle avait de plus chère au monde, encore. Ce jour même, elle perdit homme, et enfant... Elle était, de nouveau, seule au monde, seule face à son chagrin, seule face au monde. Loin de céder, à la tentation de mettre fin à ses jours, ou presque, elle repartit au dernier endroit elle avait été la plus heureuse : en Italie. Elle tenta de vivre de souvenirs illusoires, noyant son chagrin dans l’alcool, enchaînant les conquêtes masculine, poursuivant l'ombre de Léandro, voir parfois de Bryant... Mais d'autres ombres la poursuivaient elle, des fantômes d’antans qu'elle croyait oublier, mais qui en fait ne l'avait jamais quitté, et lui demander sans cesse : Pourquoi elle avait tenté de les oublier ? Pourquoi elle les avait enfouit aussi profondément, toutes ses années ? Pourquoi... Ne leur avait-elle pas fait justice, comme elle se l'était jurer ? Alors pendant ces 5 dernières années, elle se dévoua aux affaires commerciales entre Espagne, Écosse et Italie, de par l'eau de vie, le xérés et le Chianti -qu'elle fait donc produire, après avoir acquis une vigne Toscane, pour que la mémoire de Leandro perdure - mais aussi l'escrime dont elle fit de la rapière, son arme de prédilection, nouant relation sur relation, d'une façon, ou d'une autre, jusqu'à ce qu'elle y fasse enfin son entrée : à Monbrina.

Dans l'empire Monbrinien, depuis seulement quelques mois, les gens ont le choix de l'appeler : Donna Despina, la "Reine du vin" ou, "Dague filante".
]


▽ Quelles envies de jeu ? ▽
[Hum... Des bisous, des câlins et plus si affinités pour Despina (Enfin j'dis ça, mais j'préviens que j'irai pas jusqu'à jouer le "plus si affinité" xD). Après pourquoi quelques bonnes petites alliance (par intérêt ou amical), et surtout pleins de jalouses... xD]

▽ 5 points forts ▽
*
* Son intelligence
* Son apparence
* Le lancer de dague
* L'escrime
* Ses relations


▽ 5 points faibles ▽
*
* Ironiquement l'alcool (Oui, surtout quand on baigne dedans quoi...)
* Sa rancune (Il paraît que ça aveugle...)
* Son cœur (à cause de Leandro certes, mais aussi les "fantômes de son passé")
* Ses instruments de musique (Qu'elle garde très précieusement)
* Nièce(s) ou neveu(x) (S'il(s)/Elle(s) est/sont en vie)


:copyright:️️ DABEILLE



Derrière l'écran...


Âge ?
Une petite citation cool ? Nah !

PSEUDO : Pouacman, pour vous servir ! ▽ FAIRE CONNAISSANCE ? : Ôo... Il était une fois, une citrompette à roulette et un lapinceau N°9... Fin ~ Euh... Faire du RPG, ou en fabriquer ou... Autres choses... As you want !

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Message par Le Cent-Visages Ven 13 Nov - 13:57

La re-bienvenue ~
Je lis tout ça en détail ce week-end :)
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Message par Fatum Dim 15 Nov - 11:36

Hey hey :D
C'est parti pour ta fiche :morph:

Très belle dame en effet ! Ceux qui la croisent doivent être à des années lumière d'imaginer que ses toilettes raffinées dissimulent le M d'infamie à son épaule ~

Pour le coup, elle a toujours une histoire à raconter, un souvenir, un voyage, surtout dans ses moments d’ivresse ou elle réussit, presque toujours, à ne pas basculer dans la vulgarité

Cela promet de jolis échanges et je plussoie pour Falstaff :face:

Eh bien, une vie fort remplie, avec beaucoup d'instruction et des fréquentations dans le haut milieu comme dans le monde ouvrier. Elle a eu de quoi observer différents codes sociaux :D Il y a seulement deux points qui mériteraient éclaircissement dans ta fiche et pour la suite de l'histoire de Despina dans le RP :
> d'abord si j'ai bien compris, elle a été capturée à Djerdan et faite esclave quand elle était encore toute petite. Mais est-ce que quelqu'un l'a officiellement affranchie à un moment donné ? Si oui ce serait utile de le signaler, et dans ce cas elle arrive libre à Monbrina. Mais si elle n'a jamais été affranchie, alors techniquement elle est encore esclave mais elle le cache ? J'aurais besoin de savoir ce qu'il en est de cela ~
> ensuite il est question à plusieurs endroits de ses démons, ses fantômes qui la hantent, et une vengeance. Sans forcément donner tous les détails, peut-être quelques lignes directrices nous seraient aussi utiles :)

Voilou ! Merci d'avance pour ces petits changements / précisions, et ensuite je pourrai valider Despina :D
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Message par Fatum Dim 15 Nov - 12:50

Re ! :)
Eh bien comme nous venons de discuter en MP des points en questions et que maintenant tout est clair du côté staff, je valide Despina :D
Tu connais maintenant la maison, je ne te présente plus les différentes sections du fofo et les routes à suivre pour rechercher des premiers liens et RPs - bonne aventure à toi :mouton:
Et curieuse du binôme de Noël que fera Donna Despina !
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Message par Invité Dim 15 Nov - 12:56

Merci infiniment votre grâce
(Votre grâce ?... Tu yoyote vraiment dans la tête)
Je t'ignore...
(Je t'ignore... Gnagnagna...)

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