Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
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Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
Les relations de Alduis
Bien qu'ayant toujours eu des relations conflictuelles et qu'un manque de compréhension résidera toujours entre eux, les choses semblent vouer à s'améliorer de manière inattendue suite aux derniers événements
Bien plus qu'une soeur, Alduis est persuadé que personne d'autre ne lui arrivera jamais à la cheville. Belle, intelligente, persévérante, lumineuse, ils sont au final aussi différents que fussionnels.
Rencontrés récemment, dans des premières circonstances plutôt tendues, leur relation est encore incertaine. Beaucoup moins fraternel que son frère, Alduis tient encore à marquer l’existence de leurs mères respectives.
Alduis en est tombé amoureux jusqu'au bout des ongles.
Ils se connaissent de longue date et se sont croisés la première fois lors d'une bataille sanglante à Zakros. Depuis, ils se sont retrouvés et s'entraident mutuellement.
Elle n'est peut-être que sa jument, mais demeure assurément celle à qui il s'ouvre le plus et à qui il témoigne le plus d'affection.
Sa presque demi-belle-soeur. Il faut croire qu’avoir connu une même personne rapproche plus sûrement que bien d’autres choses...
Alduis est bien décidé à voir Eldred refaire sa vie. Lavinia se révèle être la candidate parfaite au titre.
Une rencontre houleuse, des retrouvailles qui le furent encore davantage et qui les poussèrent respectivement dans de bien sombres voies… Si leur relation a d’abord était compliquée, peut-être saura-t-elle s’arranger au fil de leurs prochaines conversations ?
Alduis respecte l’homme et le Premier Conseiller pour sa dignité, mais il n’oublie pas la promesse qu’il a faite à Alexandre, jurant de le protéger, ce qui place automatiquement Dyonis comme adversaire… mais un adversaire honnête.
Une invitation qui tourne au vinaigre : une remarque un peu trop franche, un coup de pied trop bien placé... Il n'en faut pas plus pour faire naître le mépris entre deux individus.
Le père d’Alexandre, et un soulard. Sa lâcheté n’est pas pour faire bonne impression à Alduis.
À ajouter.
-> Florentyna
-> Cecilia
-> Matthieu
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Re: Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
Rps flashbacks solo
https://lapourpreetlaroue.forumactif.com/t438-rps-flashbacks-souvenirs-d-alduis
A 10 ans.
Espérant retrouver la bague de sa mère, Alduis s'introduit dans le bureau de son père mais y est surpris par Coldris qui entre dans une colère noire. Quelques jours plus tard, il parle avec Virgil, son parrain, des évènements.
A 17 ans
Pour l'anniversaire de Bérénice, le frère et la soeur sont dans la remise à chercher quelques décorations pour la prochaine fête. Au fil de leurs recherches, ils retrouvent l'une des poupées de l'adolescente avec laquelle ils jouaient enfants. Place aux souvenirs et à une complicité fraternelle...
A 18 ans.
Alduis rencontre Alexandre, alors âgé de 10 ans, qui s'émerveille de rencontrer un chevalier.
A 19 ans.
En campagne à Zakros, la division monbrinienne à laquelle appartient Alduis se fait attaquer par des guerriers zakrotiens. C'est un massacre sans nom et les pertes sont lourdes des deux côtés...
A 20 ans.
De retour du front, Alduis reprend ses intimidations auprès des amis de Bérénice pour les éloigner. La jeune femme s'en rend compte et Coldris annonce son mariage prochain, ce qui la désespère.
A 22 ans.
S'apercevant de ces sentiments grandissants pour Mathurin, le fils d'un tanneur, Alduis tente de s'ôter son image de la tête en se donnant un coup de poignard en plein visage. Opération d'une part infructueuse mais également interrompue par Bérénice qui intervient.
A 25 ans.
Soirée au Lupanar avec Louise.
A 26 ans.
Malade du typhus, Alduis délire et demande à Joseph de l'achever, lequel refuse.
Le 6 juin 1597
Invité au Lupanar par son père, Alduis rencontre Phaidée avec laquelle il conclut le pacte suivant : contre des secrets, ils se contentent de donner l'illusion de la partie de jambes en l'air prévue normalement.
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Re: Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
Automne 1597
> le 30 septembre 1597 <
Alduis arrive à la cérémonie du triomphe avec une bonne demi-heure de retard, comme à son habitude. Désireux de faire quelques vagues dans les esprits, il prend alors la défense d'une femme venue plaider la cause de son fils (Alexandre) dont elle trouve la condamnation injuste.
> le 10 octobre 1597 <
La jeune femme tente de voler une des dagues d'Alduis mais il s'en rend compte et attrape alors son poignet - en manquant de le lui casser au passage. Après quelques tensions et une discussion crispée, il finit par la mener dans l'une des ruelles pour conclure d'un pacte : contre nourriture et argent, elle doit lui servir d'espion dans les rues.
> le 17 octobre 1597 <
Averti de son éclat lors du triomphe, Coldris vient trouver Alduis dans les cuisines au matin, pendant que ce dernier est en train de prendre un petit en-cas. Il lui annonce son mariage prochain, en évoquant deux possibles prétendantes : Bélyl Cassin ou Florentyna de Monthoux. La nouvelle est loin d'enchanter son fils.
Furieux, il va donc trouver Emmelia, ramenée au domaine des Fromart, pour passer ses nerfs. Mais les choses ne se passent pas comme prévues, et le retournent encore davantage.
Il finit par se réfugier dans un salon, mais est dérangée par Skalitis qui vient nettoyer. De peur de manger seul le soir, il l'invite à manger à sa table, avant de regretter amèrement cette idée et de la congédier. (en cours)
> le 17 novembre 1597 <
De passage sur le marché, il entend des rumeurs et trouve là un homme (Romain Bellanger) en train de frapper Skalitis - ce qu'il ne tolère pas. Alexandre s'est interposé avant son intervention (au cours de laquelle il coupe un doigt au fauteur) et il apprend de cette manière que cet homme est son père adoptif.
> le 24 novembre 1597 <
Il invite Alexandre chez lui, interloqué par les histoires qui tournent autour de lui et du Premier Conseiller, pour chercher à en savoir plus. Il parvient à apprendre plusieurs éléments, suffisamment pour espérer pouvoir tirer les vers du nez à Dyonis mais au fil de la conversation, ils en arrivent à parler de leur homosexualité commune. Ils passent finalement la nuit ensemble.
> le 25 novembre 1597 <
La nuit se révèle blanche pour Alduis, qui a le temps de ruminer les évènements et qui, dès le réveil d'Alexandre, vomit. Ce dernier l'aide à se coucher pour rattraper sa fatigue. Il s'en va en lui écrivant un poème qu'Alduis trouvera en se réveillant.
En rouvrant les yeux quelques heures plus tard, il décide de sortir pour l'heure, toujours nauséeux. (Théodosie - en cours)
> le 27 novembre 1597 <
Hanté par le souvenir d'Alexandre, Alduis ne dort plus et ne mange plus. Il se rend sur le port en pleine nuit et reste au-dessus de l'eau, en se posant de sérieuses questions sur le fait de sauter dans l'eau, quand une femme l'interrompt. Il se reconnaît dans sa douleur et il lui confie alors une partie de ses problèmes. (en cours)
Cette discussion finie et n'y tenant plus, il retrouve Alexandre chez Dame Irène, malgré le danger que cela représente et son allure franchement inquiétante. (en cours)
> le 28 novembre 1597 <
Alduis croise un danseur dans les rues. D'abord hynotisé par la danse des lames au bout de ses doigts, il apprend rapidement que ce garcon n'est ni plus ni moins Tristan, l'ancien amant d'Alexandre.
> le 29 novembre 1597 <
Sa forme retrouvée, mais ne trouvant toujours pas le sommeil, Alduis décide de faire un tour en ville, dans les ruelles malfamées de la ville. Il y trouve là une jeune femme effrayée, dont il se prend l'envie de l'escorter (les valeurs chevalresques n'ont rien à voir là-dedans). ... (en cours)
> le 30 novembre 1597 <
Alduis retrouve Cassandre qui s'est introduite dans ses appartements. Il n'est qu'à demi-surpris par cette venue qu'il attendait. Il suite l'enfant jusque dans les bois afin de négocier avec un certain Jérémie, avec qui il prévoit la visite au marchand d'esclave - méprisés par les deux jeunes hommes - puis la publication d'un ouvrage rédigé par Jérémie.
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Re: Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
Décembre 1597
> le 2 décembre 1597 <
Se retrouvant à l'église, Alduis demande à Alexandre de clarifier une certaine histoire, sur le pourquoi du comment il a demandé à recevoir quinze coups de tissonnier. Cela les amène à un sujet de conversation bien sombre : le suicide. L'idée de perdre Alduis affole d'ailleurws Alexandre.
> le 5 décembre 1597 <
De passage à l'église, Alduis croise un homme, Eldred. Ils règlent leurs comptes, mais une fois ceci fait, c'est une étrange relation qui s'engage alors. Ils se sont déjà croisés neuf ans plus tôt, à Zakros, et cette bataille a été indubitablement le début d'une grande amitié. Entre provocations permanentes, jeu de séduction amical, et plus grand sérieux, ils alternent les deux facettes sans transition marquée, et mettent l'église sens dessus-dessous.
En venant jeter un oeil dans l'église, Alexandre trouve non seulement une église en désordre mais un Alduis quasi-euphorique, ce qui a le don de le déstabiliser face à cette situation pour le moins inhabituelle.
> le 6 décembre 1597 <
Alduis se prend les pieds dans une bouteille et manque de tomber par dessus une jeune femme. Durant la conversation, il s'apercoit qu'il s'agit de l'une des prétendantes que son père avait prévu de lui donner en mariage, Bélyl Cassin. Cette dernière tâche de comprendre pourquoi les relations entre son père et Alduis se sont dégradées et finit par comprendre les envies noires qui peuplent Alduis. Elle évoque alors une particularité dont elle a entendu parler et qu'elle pense correspondre à Alduis, l'hypermnésie. Elle lui promet de trouver des livres sur le sujet.
> le 7 décembre 1597 <
Alduis rencontre Thierry, le père d'Alexandre, et convient d'un rendez-vous deux jours plus tard pour tâcher de tirer les vers du nez du Premier Conseiller.
Durant le reste de la journée, Matthieu Cassin, cardinal, lui rend visite pour juger en personne de la possibilité de marier sa nièce à Alduis. Leur rencontre ne se passe pas sans quelques piques bien senties.
> le 8 décembre 1597 <
De sortie, Alduis passe par le port. Il trouve là-bas une situation bien originale : Alexandre, jaloux d'avoir appris qu'Alduis avait pu embrasser le Zakrotien durant leur précédente rencontre.
Le reste de la journée se passe relativement tranquille... ou presque. Invité chez Leyria pour parler récits guerriers, il la trouve fort prétentieuse de parler ainsi de la guerre sans jamais n'avoir vu aucun champ de bataille. Blessée par ses propos, elle lui offre en retour un coup de pied, fort mal placé, qui le plie en deux quelques temps.
> le 9 décembre 1597 <
L'heure est venue de recevoir Dyonis. Bien loin de l'homme qu'il s'apprêtait à rencontrer, Alduis tombe face à un adversaire honorable et la conversation tourne bien différement de ce qui était prévu. La situation ne plaisant pas à Thierry, caché derrière des rideaux, ce dernier intervient de manière fort peu diplomate. Alduis lui-même finit par, d'un coup de poing, l'envoyer ronfler sur le sol.
Déjà retourné par cette première entrevue, c'est sans compter sur l'anniversaire de son père dans la soirée, et le passage au Lupanar qu'ils font ensemble. En cours de repas apparaît un individu, qui se trouve être ni plus ni moins que l'un de ses demi-frères, Sarkeris. Déjà tendu, l'ambiance en devient électrique et Alduis finit par briser le pied d'un verre, se blessant la main au passage.
> le 10 décembre 1597 <
Ayant du mal à s'apaiser de la colère ressentie lors de l'anniversaire de Coldris, Alduis va se réfugier à l'église, dans l'espoir d'y trouver Alexandre. C'est dans un état mental plutôt critique que le trouve son amant.
Si bouleversé et absorbé par les voix, Alduis n'entend pas Alexandre quitter l'église au matin. Il se retrouve seul dans le lit et se croit être fou. Il interroge une jeune femme qui se trouve là, dans l'espoir qu'elle l'ait vu, mais la réponse négative le décourage. Sans compter que son nom, Éléonore de Tianidre le déstabilise encore un peu plus et lui rappelle le front, et l'un des amants qu'il a pu avoir là-bas. Eldred intervint au bon moment pour la sauver d'un coup d'Alduis. Son ami parvient à le ramener dans le monde des vivants, aux prix de grands efforts.
> le 11 décembre 1597 <
Quelque peu remis des émotions passées mais incapable de se détacher de certaines images, Alduis évoque avec Alexandre ses anciens amants - presque tous morts sur le front.
> le 12 décembre 1597 <
De nouveau pris par les voix, c'est une étrange rencontre qu'il a vu. Bertain (qui révéle finalement s'appeler Stelian), ancien palefrenier de Fromart, revient vers lui après une mystérieuse disparition... Alduis comprend alors une chose, quelque chose les lie : leur amour commun pour les hommes.
> le 14 décembre 1597 <
Intriguée par leur précédente rencontre, Éléonore revient le voir. Elle lui demande d'en savoir plus sur la fin tragique d'Ariste, son cousin et l'amant d'Alduis, puisqu'il est le dernier à l'avoir vu vivant.
> le 15 décembre 1597 <
Croisant une religieuse dans la rue, Alduis se met en tête de la bousculer. C'est sans compter sur la petite italienne (Cecilia), qui se met en tête de comprendre ce geste en apparence illogique.
> le 16 décembre 1597 <
Éléonore a compris une chose en relisant les lettres qu'elle échangeait avec Ariste : ce dernier était tombé amoureux de Alduis. Elle vient mettre au courant ce dernier de cette découverte, qui le laisse troublé.
> le 18 décembre 1597 <
Alexandre a été arrêté par la prévôté pour sodomie. Alduis supplie alors son père pour que ce dernier le sorte des geôles et se plie à ses exigences : se tenir correctement en public.
Mais il tourne en rond, inquiet, et c'est au gré de ces rondes qu'Alduis finit par croiser Cassandre. Cette dernière, fort aggressive, prend plaisir à la puissance qu'elle se découvre alors et face à un Alduis déjà bien à bout de nerfs, trouve un terrain fertile pour ses propos. Elle en retire un nez cassé, et un désespoir croissant (des deux côtés.)
> le 19 décembre 1597 <
Désespéré, Alduis se perche à huit mètres au-dessus du vide et observe la possibilité de mourir d'un oeil intéressé quand son père entre dans le salon abandonné du second étage. Pour la première fois, une communication se tisse entre le père et le fils, qui découvrent quelque chose de nouveau. Coldris, connaissant lui-même la présence insinueuse des voix, aide Alduis à les enfermer - mais pour combien de temps ? - dans une forteresse imaginaire.
> le 20 décembre 1597 <
Désireux de se changer les idées, Alduis décide de se rendre à la caserne. Là-bas, contre toute attente, il croise Sarkeris, qui défie en duel qui veut. Alduis relève la proposition, et au bout de quelques passes, son demi-frère remporte la manche. Le vacarme amène Joseph, et Alduis voit là l'opportunité d'évoquer les très vagues souvenirs du typhus, hanter par le besoin d'en apprendre plus, après des années à lutter contre ce vide dans son esprit.
> le 21 décembre 1597 <
Au hasard des couloirs, Alduis et Coldris se rencontrent. Ne s'étant pas revus depuis l'épisode du dix-neuf, c'est une conversation quelque peu gênée qui se met en place.
> le 22 décembre 1597 <
Sorti de la prévôté, Alexandre souhaite aller vérifier dans quel état a été mise l'église durant son absence. Refusant de le lâcher d'une semelle, Alduis le suit dans son entreprise. Les choses dérapent pourtant du but premier et de la prudence qui s'imposerait après l'arrestation du jeune homme. Éléonore les surprend d'ailleurs, et les interrompt, ce qui terrifie Alexandre. Face à la conversation, et au second degré qui lui échappe, Alduis préfère partir parler à sa jument.
> le 23 décembre 1597 <
Rendez-vous donné à Eldred, les deux amis se retrouvent dans les champs pour discuter. Ils évoquent les derniers évènements. Eldred finit par aborder le sujet d'une jeune femme rencontrée quelques temps plus tôt qui semble lui plaire. Alduis saisit l'occasion pour se moquer - amicalement - mais les rôles s'inversent naturellement quand il est question d'aborder leurs amant.e.s respectifs...
En revenant de sa promenade, Alduis trouve Bérénice en conversation avec ... Lavinia - la femme dont lui a parlé Eldred quelques temps plus tôt. Incapable de se retenir, il évoque le sujet avec elle.
Alexandre revient ce soir-là de plus triste humeur que d'habitude. Tout en lui expliquant les raisons de cette brusque baisse de moral et en lui présentant un livre aux dessins osés, ils finissent par laisser de côté les mots.
> le 24 décembre 1597 <
Suite à la proposition de son père de lui ouvrir son bureau, Alduis se lève au milieu de la nuit pour accepter l'offre, néanmoins nerveux par ce qu'il peut y découvrir. Malgré quelques tensions et incompréhensions, père et fils parviennent néanmoins à communiquer, bien que difficilement.
Bérénice vient le rejoindre dans la salle d'armes pour s'entraîner avec lui. Alduis l'accueille avec plaisir, comme quand ils étaient plus jeunes. Tout en combattant (Alduis de la main gauche pour préserver ses doigts blessés), le frère et la soeur discutent, plus ouvertement que depuis de nombreuses années.
A la veille du réveillon, Alduis accueille en compagnie de Bérénice sa future fiancée. Bien qu'avec quelques maladresses, la conversation s'engage sur de bons termes.
> le 25 décembre 1597 <
Alduis dit pour la première fois à Alexandre qu'il l'aime.
> le 26 décembre 1597 <
Incapable de cacher cette vérité plus longtemps, Alduis se rend chez Éléonore pour lui avouer la chose suivante : il a achevé Ariste pour lui offrir une mort digne, comme il l'a mérité. La réaction est à hauteur de ses craintes : elle ne veut plus jamais le voir. Il sort, titubant, perdu, et c'est Lavinia qui le trouve, roulé en boule dans une rue. Elle le ramène chez elle pour la nuit, en faisant prévenir Bérénice dès le lendemain.
> le 28 décembre 1597 <
Alduis trouve un moineau mort dans la neige, ce qui déclenche des larmes incontrôlées. Alexandre le rejoint. Ils montent ensemble en haut de l'arbre et Alduis se confie au sujet de la dispute avec Éléonore.
> le 29 décembre 1597 <
Alduis prend le temps d'attendre qu'Alexandre se réveille. Ils discutent, et Alexandre donne quelques exercices d'écriture à Alduis pour améliorer sa calligraphie.
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Re: Alduis de Fromart, enfoncer des portes ouvertes
Janvier-Février 1598
> le 2 janvier 1598 <
Éléonore vient à Fromart pour s'excuser et offre à Alduis l'une des dagues d'Ariste.
> le 3 janvier 1598 <
Suite à la vengeance de Bérénice sur Leyria, Alduis propose de faire la paix à la jeune fille. Cela conduit à un duel, à la régulière, en guise de réconciliations.
> le 4 janvier 1598 <
Alduis surprend de manière inattendue Éléonore en train d'embrasser son père. Ce dernier est furieux d'être interrompu. Éclate de grandes tensions entre père et fils, qui se solde par un départ d'Alduis du château.
> le 6 janvier 1598 <
Après avoir signé le document contre l'esclavage de Jérémie, Alduis se rend avec lui chez Greeglocks, alias Philibert, pour en apprendre plus sur la vente d'un homme en particulier. Après avoir reccours à quelques menaces pour faire accélérer le mouvement, ils parviennent à lui tirer les vers du nez.
> le 10 janvier 1598 <
Lavinia est perdue dans une tempête. Appelé en renfort par Eldred, Alduis l'accompagne dans la forêt d'Aprendo pour la retrouver. Ils arrivent juste à temps et peuvent la ramener, saine et sauve, à Frenn - au soulagement général. Une épreuve qui, dans tous les cas, se révèle éprouvante de bien des manières pour tout le monde.
> le 11 janvier 1598 <
Lavinia se rend à Fromart pour le remercier de l'expédition mené dans la neige la veille. Pour symboliser sa reconnaissance, elle offre un cadeau à Alduis : un chat, qu'il appelle Honneur.
> le 15 janvier 1598 <
Alexandre, qui souhaite avoir des enfants et faire taire les rumeurs de sodomie à son sujet, parle à Alduis de son projet d'aller au lupanar.
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» [20-26 janvier 1598]- Le manoir du moulin vous ouvre ses portes, prenez garde!
» Rapport ministériel de Coldris de Fromart
» [20 février 1698] De par les chemins et nos cœurs. Ft. Alduis
» [28 novembre] Les griffes parfois caressent [ft. Alduis - Terminé]
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