[7 Décembre 1597] Père Thierry, sonnez les matines... [Terminé]
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Re: [7 Décembre 1597] Père Thierry, sonnez les matines... [Terminé]
Thierry ne savait pas où avait pu aller Dyonis pendant cette petite réception surprise. Bon. Cela ne les avançait pas à grand chose. Les chances qu'il y soit allé quelques temps n'étaient en tout cas pas excluses totalement. Alduis haussa des épaules. Tout savoir avant de lui parler aurait été très décevant, de toute manière – et beaucoup moins drôle.
Il restait la pièce centrale du puzzle, celle qui permettait à tous les liens de se faire et de se rejoindre. C'était incontestablement la plus importante. Ce qui leur faudrait découvrir pendant ce petit dîner inopiné. Le jeu resterait présent et c'était tant mieux. Si la souris ne bougeait pas, pourquoi le chat ressentirait-il le besoin de la poursuivre ?
Prêcher le faux pour connaître le vrai. Voilà ce qu'il comptait faire. Amener Dyonis à lui révéler lui-même cette dernière pièce. Le laisser signer lui-même sa fin. Faire des déductions, observer, analyser... C'était ce qu'il aimait. A peu prés autant que la guerre, et ce n'était pas peu dire. Ils allaient le piéger à son propre jeu d'être un homme moral.
- Nous finirons bien par l'apprendre à un moment ou un autre, déclara-t-il.
Nul besoin de presser les choses. Bien au contraire. Une bonne vengeance se préparait avec soin, et c'était ce que faisait Alduis depuis presque vingt jours. Il avait eu le temps de récolter suffisamment d'informations pour passer à l'attaque.
Comme la conversation était close, Alduis ne résista pas à la tentation de poursuivre sur un tout autre sujet. Qui fit éclater de rire le religieux. Le sourire d'Alduis s'aggrandit.
- Alex a, oui, confirma-t-il d'un ton amusé. Si vous voulez bien, je voudrai être là quand vous aurez cette petite conversation avec lui. Ce serait un juste rendu des choses pour votre invitation au dîner avec Dyonis, non ?
Juste pour pouvoir s'amuser. Pour pouvoir le voir rougir – parce qu'il était à peu près sûr que ce serait le cas. Sur cette dernière demande, il se redressa enfin pour se tourner vers la porte définitivement.
- Sur ce, mon cher père, je vous laisse retourner à vos prières ! Ennuyez-vous bien !
Il lui adressa un sourire narquois, avant d'ajouter, juste avant de quitter le bureau et que ses pas cadencés résonnent dans la nef de l'église :
- Et n'oubliez pas de cracher sur Dieu de ma part, surtout.
Il restait la pièce centrale du puzzle, celle qui permettait à tous les liens de se faire et de se rejoindre. C'était incontestablement la plus importante. Ce qui leur faudrait découvrir pendant ce petit dîner inopiné. Le jeu resterait présent et c'était tant mieux. Si la souris ne bougeait pas, pourquoi le chat ressentirait-il le besoin de la poursuivre ?
Prêcher le faux pour connaître le vrai. Voilà ce qu'il comptait faire. Amener Dyonis à lui révéler lui-même cette dernière pièce. Le laisser signer lui-même sa fin. Faire des déductions, observer, analyser... C'était ce qu'il aimait. A peu prés autant que la guerre, et ce n'était pas peu dire. Ils allaient le piéger à son propre jeu d'être un homme moral.
- Nous finirons bien par l'apprendre à un moment ou un autre, déclara-t-il.
Nul besoin de presser les choses. Bien au contraire. Une bonne vengeance se préparait avec soin, et c'était ce que faisait Alduis depuis presque vingt jours. Il avait eu le temps de récolter suffisamment d'informations pour passer à l'attaque.
Comme la conversation était close, Alduis ne résista pas à la tentation de poursuivre sur un tout autre sujet. Qui fit éclater de rire le religieux. Le sourire d'Alduis s'aggrandit.
- Alex a, oui, confirma-t-il d'un ton amusé. Si vous voulez bien, je voudrai être là quand vous aurez cette petite conversation avec lui. Ce serait un juste rendu des choses pour votre invitation au dîner avec Dyonis, non ?
Juste pour pouvoir s'amuser. Pour pouvoir le voir rougir – parce qu'il était à peu près sûr que ce serait le cas. Sur cette dernière demande, il se redressa enfin pour se tourner vers la porte définitivement.
- Sur ce, mon cher père, je vous laisse retourner à vos prières ! Ennuyez-vous bien !
Il lui adressa un sourire narquois, avant d'ajouter, juste avant de quitter le bureau et que ses pas cadencés résonnent dans la nef de l'église :
- Et n'oubliez pas de cracher sur Dieu de ma part, surtout.
Alduis de Fromart- Aristocratie
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Liens et RPs : Chronologie.
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