[3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Page 1 sur 1 • Partagez
[3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Un bruit de frottement d'un objet métallique contre le sol. Quelque gémissements d'effort. Puis quelques secondes qui reprennent leur souffle. Souffle qui se matérialise en petite buée à la sortie du conduit et qui entourent deux mains froides. Le corps entier grelotte un peu, mais supporte ce froid, malgré le fin habit, vivant depuis toujours dans des endroits pas isolé du tout. Puis le cycle se répète. Ce travail tu l'as déjà fait, tu le connais. Quand tu étais chez toi, tu l'exécutais sans problème avec le sourire aux lèvres, et le discours piquant pour tes collègues aux cordes vocales. Mais aujourd'hui, tu n'as pas envie de rire. Tu déblayes la neige de l'allée principale de ta nouvelle maison, sans émotion autre que la résignation teintée de frustration. Tu n'as aucune envie d'aider ces gens qui achète des humains. Ils ont beau avoir une habitation aussi grande que dix des tiennes, avoir des habits que la plupart trouveront beaux, ils resteront des acheteurs d'humains... Comment être pote avec ça...
Mais dans tout ton malheur, même si jamais de ta vie tu le reconnaîtra à voix haute, tu dois avouer que certains points sont mieux qu'il y a un peu plus d'une année et demi. Déjà, tu es nourries. C'est con à dire, mais chez toi, les dernières années, non seulement tu devais cultiver des choses pour quelqu'un d'autres, mais en plus tu devais risquer ta vie pour manger. Ici au moins, tu manges à ta faim, avec bien moins d'effort. Peu, car tu t'y es habituée, mais suffisamment. Oh tu ne te fais pas péter le bide non plus, bien sûr... Et puis... il y a cette fille aux cheveux bruns... tu la détestes certes, mais tu ne saurais dire pourquoi, elle a l'air différente... Le regard qu'elle te lance change de celui du vieux qui t'a acheté... c'est bizarre... est-ce que peut-être...
Non tu déconnes... allez Katarina, arrête de dire des conneries, c'est des tas de fumier pis c'est tout. Tu trouveras bien un moyen une fois de le leur faire prendre conscience... Tu secoues la tête et tu t'actives à nouveau à la tâche, pendant de longues minutes, jusqu'à ce que tes yeux soient attirés par une silhouette. C'est un mec plutôt grand... ouais c'est tout, le reste tu t'en fous... c'en est qu'un parmi d'autres finalement... Tu le regardes un instant avancer, puis t'en désintéresse pour continuer ton déblayage.
Y a peu de chance que tu aies quelques chose à lui dire...
ben ouais quoi...oh... on est dans la réalité... hein...
Mais dans tout ton malheur, même si jamais de ta vie tu le reconnaîtra à voix haute, tu dois avouer que certains points sont mieux qu'il y a un peu plus d'une année et demi. Déjà, tu es nourries. C'est con à dire, mais chez toi, les dernières années, non seulement tu devais cultiver des choses pour quelqu'un d'autres, mais en plus tu devais risquer ta vie pour manger. Ici au moins, tu manges à ta faim, avec bien moins d'effort. Peu, car tu t'y es habituée, mais suffisamment. Oh tu ne te fais pas péter le bide non plus, bien sûr... Et puis... il y a cette fille aux cheveux bruns... tu la détestes certes, mais tu ne saurais dire pourquoi, elle a l'air différente... Le regard qu'elle te lance change de celui du vieux qui t'a acheté... c'est bizarre... est-ce que peut-être...
Non tu déconnes... allez Katarina, arrête de dire des conneries, c'est des tas de fumier pis c'est tout. Tu trouveras bien un moyen une fois de le leur faire prendre conscience... Tu secoues la tête et tu t'actives à nouveau à la tâche, pendant de longues minutes, jusqu'à ce que tes yeux soient attirés par une silhouette. C'est un mec plutôt grand... ouais c'est tout, le reste tu t'en fous... c'en est qu'un parmi d'autres finalement... Tu le regardes un instant avancer, puis t'en désintéresse pour continuer ton déblayage.
Y a peu de chance que tu aies quelques chose à lui dire...
ben ouais quoi...oh... on est dans la réalité... hein...
Katarina sin miedo- Bonus Dé : 1
Multi-comptes ? : Césarine Florange
Messages : 91
Date d'inscription : 04/01/2021
Age : 30
Feuille de personnage
Inventaire et / ou réputation:
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Etait-ce une bonne idée de convier Monsieur Fromart dans son domaine ? Elle n'avait plus à se poser la question car elle avait sa réponse. Le coup de la vengeance hier faite par sa soeur était bien trouvé, il fallait l'admettre. Dent pour dent, oeil pour oeil, disait-on. Et puis, elle avouait au fond que cela l'avait pas mal aider cette rencontre quoique original. Pendant tout ce temps, elle s'était focalisé sur un rêve d'enfance sans prendre le temps de regarder les autres issues qui lui étaient présentées.
Une femme pouvait s'affirmer dans un monde d'hommes sans forcément que du sang coule sur son épée.
Alors oui, ils n'étaient pas si horribles qu'elle ne le pensait. Ils avaient des valeurs.Même il fallait avouer que cette famille était un peu tarée sur les bords.
Bon... C'était très beau tout cela. Mais cela ne calmait pas le stress que la jeune femme avait depuis ce matin. Certes, cet Alduis de Fromart avait eu sa vengeance et ils se retrouvaient donc quittes mais rien ne lui confirmait que leur rencontre d'aujourd'hui allait se dérouler comme elle le souhaiterait. Même si elle savait à quoi se tenir, en autre son air provocateur.
C'était en étant dans ses pensées qu'un valet vint la prévenir de l'arrivée de son invité. Leyria se leva de son fauteuil et s'en alla l'accueillir. Sur son chemin, elle vit pas loin la nouvelle esclave achetée début décembre en train de déblayer l'allée principale. Une petite mine triste apparut sur son visage. Ce nigaud d'intendant de Venric n'avait pas l'air de se lasser de donner aux esclaves du domaine des tâches ingrates comme celles à effectuer dans ce froid de canard alors que leurs vêtements sont aussi fins que de la soie. Malheureusement, elle n'avait pas la main sur cela et ne pouvait que de se contenter à se montrer reconnaissante envers ses serviteurs. Justement, la jeune femme profita du bref moment où Katarina posa ses yeux sur elle pour lui sourire et la saluer de la tête amicalement. Peut-être allaient elles pouvoir un jour discuter sans qu'un marquis ou un intendant ne viennent les embêter...
Son attention revint enfin vers le lieutenant et en se trouvant en face de lui, elle le salua.
- Bonjour, Messire de Fromart. J'étais soucieuse du fait que vous auriez pu refuser mon invitation. Mais je vois que vous êtes toujours partant pour un duel d'escrime.
Une femme pouvait s'affirmer dans un monde d'hommes sans forcément que du sang coule sur son épée.
Alors oui, ils n'étaient pas si horribles qu'elle ne le pensait. Ils avaient des valeurs.
Bon... C'était très beau tout cela. Mais cela ne calmait pas le stress que la jeune femme avait depuis ce matin. Certes, cet Alduis de Fromart avait eu sa vengeance et ils se retrouvaient donc quittes mais rien ne lui confirmait que leur rencontre d'aujourd'hui allait se dérouler comme elle le souhaiterait. Même si elle savait à quoi se tenir, en autre son air provocateur.
C'était en étant dans ses pensées qu'un valet vint la prévenir de l'arrivée de son invité. Leyria se leva de son fauteuil et s'en alla l'accueillir. Sur son chemin, elle vit pas loin la nouvelle esclave achetée début décembre en train de déblayer l'allée principale. Une petite mine triste apparut sur son visage. Ce nigaud d'intendant de Venric n'avait pas l'air de se lasser de donner aux esclaves du domaine des tâches ingrates comme celles à effectuer dans ce froid de canard alors que leurs vêtements sont aussi fins que de la soie. Malheureusement, elle n'avait pas la main sur cela et ne pouvait que de se contenter à se montrer reconnaissante envers ses serviteurs. Justement, la jeune femme profita du bref moment où Katarina posa ses yeux sur elle pour lui sourire et la saluer de la tête amicalement. Peut-être allaient elles pouvoir un jour discuter sans qu'un marquis ou un intendant ne viennent les embêter...
Son attention revint enfin vers le lieutenant et en se trouvant en face de lui, elle le salua.
- Bonjour, Messire de Fromart. J'étais soucieuse du fait que vous auriez pu refuser mon invitation. Mais je vois que vous êtes toujours partant pour un duel d'escrime.
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Leyria de Phietom, troisième rencontre.
La première n’avait pas été des plus sympathiques. La seconde avait remis les choses à plat et lui avait donné sa revanche. Maintenant, eh bien, c’était la belle. Mais à la régulière, cette fois-ci. Un vrai duel, honorable. Et Alduis n’allait pas refuser.
Il s’était rendu de bon matin au domaine. L’air était frais, d’autant plus qu’il était de nouveau sorti sans veste. Il s’en rendait compte maintenant. Il le regrettait un peu, d’ailleurs, mais pour rien au monde il ne l’aurait reconnu.
En arrivant au domaine de la jeune marquise, il confia Courage à ceux qui vinrent l’accueillir en flattant une dernière fois l’encolure de sa jument. Ce fut la jeune femme elle-même qui arriva alors pour le saluer. Fidèle à lui-même, il répondit du tac-au-tac :
— Appelez-moi Alduis.
Après tout, il semblait qu’ils avaient dépassé le stade des formalités. La suite le fit sourire - sincèrement cette fois-ci. La perspective d’un duel le mettait toujours de bonne humeur. Et puis, il était curieux de mettre les compétences de la jeune femme en matière d’escrime à défi.
— Je ne refuse jamais un duel. Sauf si vous avez l’intention de m’émasculer encore aujourd’hui, ajouta-t-il avec une expression entendue et presque complice, auquel cas, mon entrejambe préférera certainement faire demi-tour tout de suite.
Ils passèrent dans l’allée. Là, une jeune esclave balayait dans quelques bruits métalliques. Une esclave qui le regarda quelques secondes. Alduis serait passé sans s’arrêter s’il n’avait pas croisé un bref instant son regard. Il flottait à l’intérieur de son regard quelque chose qui ressemblait à de la défiance. Et ce fut cela qui le fit s’arrêter devant elle, les mains sur ses dagues à sa ceinture. Il plongea ses yeux au fond des siens. Ce n’était pas de la colère dans son regard, plutôt quelque chose qui ressemblait à de l’intérêt.
— Tu as quelque chose à me dire ? Je t'en prie, je t'écoute.
La première n’avait pas été des plus sympathiques. La seconde avait remis les choses à plat et lui avait donné sa revanche. Maintenant, eh bien, c’était la belle. Mais à la régulière, cette fois-ci. Un vrai duel, honorable. Et Alduis n’allait pas refuser.
Il s’était rendu de bon matin au domaine. L’air était frais, d’autant plus qu’il était de nouveau sorti sans veste. Il s’en rendait compte maintenant. Il le regrettait un peu, d’ailleurs, mais pour rien au monde il ne l’aurait reconnu.
En arrivant au domaine de la jeune marquise, il confia Courage à ceux qui vinrent l’accueillir en flattant une dernière fois l’encolure de sa jument. Ce fut la jeune femme elle-même qui arriva alors pour le saluer. Fidèle à lui-même, il répondit du tac-au-tac :
— Appelez-moi Alduis.
Après tout, il semblait qu’ils avaient dépassé le stade des formalités. La suite le fit sourire - sincèrement cette fois-ci. La perspective d’un duel le mettait toujours de bonne humeur. Et puis, il était curieux de mettre les compétences de la jeune femme en matière d’escrime à défi.
— Je ne refuse jamais un duel. Sauf si vous avez l’intention de m’émasculer encore aujourd’hui, ajouta-t-il avec une expression entendue et presque complice, auquel cas, mon entrejambe préférera certainement faire demi-tour tout de suite.
Ils passèrent dans l’allée. Là, une jeune esclave balayait dans quelques bruits métalliques. Une esclave qui le regarda quelques secondes. Alduis serait passé sans s’arrêter s’il n’avait pas croisé un bref instant son regard. Il flottait à l’intérieur de son regard quelque chose qui ressemblait à de la défiance. Et ce fut cela qui le fit s’arrêter devant elle, les mains sur ses dagues à sa ceinture. Il plongea ses yeux au fond des siens. Ce n’était pas de la colère dans son regard, plutôt quelque chose qui ressemblait à de l’intérêt.
— Tu as quelque chose à me dire ? Je t'en prie, je t'écoute.
Alduis de Fromart- Aristocratie
- Fiche perso : Fiche.
Liens et RPs : Chronologie.
Bonus Dé : 5
Multi-comptes ? : Sylvère d'Aiguemorte / Victor Millard
Messages : 777
Date d'inscription : 05/05/2020
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Coup de pelle après coup de pelle, l'allée se dégage gentiment. Le fait de bosser te réchauffe un peu, alors tu continues, même si tu en as pas envie. De toute façon c'est soit ça, soit avoir non seulement froid, mais en plus entendre les engueulades de l'autre tête de con d'intendant. Alors à choisir, autant être seule et bosser pour avoir chaud... C'est sûr, un jour, lui il va passer à travers la fenêtre...
Quand tu croises le regard de la fille du truand, elle te sourit amicalement, et ça te perturbe. Tu ne le montres pas extérieurement, mais beaucoup de questions se bousculent en toi face à cette expression. Qu'est-ce qu'elle essaie de te faire là... elle t'amadoue ? Est-ce un sourire de satisfaction de te voir dans cet état ? Est-ce que c'est le genre de femme qui est pote avec toi tant que tu lui obéis ? C'est vexant parce-que tu la détestes, mais... tu sens quelque chose de différent chez elle, que tu n'arrives pas encore à bien expliquer, et que pour l'instant, ton subconscient rejette formellement.
Elle s'avance et discute un coup avec l'homme de toute à l'heure, dialogue que tu n'écoute que d'une oreille. ça parle de duel, mais tu n'as pas compris de quoi... est-ce que ça ressemble au défi que tu faisais chez toi ? En plus avec les quelques mots compliqués qu'ils prononcent, tu perds un peu le fil... bon ben ça a l'air d'être des discussions de riches... c'est pas pour toi donc... tu déconnectes totalement des deux nobles et enlève encore quelques pelletées, avant que l'un des deux se plantent devant toi et t'adresse la parole.
Un peu surprise, tu t'arrêtes dans ton travail, et lève les yeux vers lui, offrant un regard à mi-chemin entre la défiance et l'indifférence. Tu te laisses quelques secondes pour l'observer. Déjà tu remarques qu'il a pas de veste... pas très malin par les températures actuelles. Il sort d'où lui ? il a de quoi se payer une veste et il l'a met pas ? Le monde est mal fait... mais bon ça c'est pas le pire... le pire c'est...
Euh... ben ouais, t'es au chemin. J'aimerais bien continuer de peller avant de mourir de froid en restant plantée là...
Quand tu croises le regard de la fille du truand, elle te sourit amicalement, et ça te perturbe. Tu ne le montres pas extérieurement, mais beaucoup de questions se bousculent en toi face à cette expression. Qu'est-ce qu'elle essaie de te faire là... elle t'amadoue ? Est-ce un sourire de satisfaction de te voir dans cet état ? Est-ce que c'est le genre de femme qui est pote avec toi tant que tu lui obéis ? C'est vexant parce-que tu la détestes, mais... tu sens quelque chose de différent chez elle, que tu n'arrives pas encore à bien expliquer, et que pour l'instant, ton subconscient rejette formellement.
Elle s'avance et discute un coup avec l'homme de toute à l'heure, dialogue que tu n'écoute que d'une oreille. ça parle de duel, mais tu n'as pas compris de quoi... est-ce que ça ressemble au défi que tu faisais chez toi ? En plus avec les quelques mots compliqués qu'ils prononcent, tu perds un peu le fil... bon ben ça a l'air d'être des discussions de riches... c'est pas pour toi donc... tu déconnectes totalement des deux nobles et enlève encore quelques pelletées, avant que l'un des deux se plantent devant toi et t'adresse la parole.
Un peu surprise, tu t'arrêtes dans ton travail, et lève les yeux vers lui, offrant un regard à mi-chemin entre la défiance et l'indifférence. Tu te laisses quelques secondes pour l'observer. Déjà tu remarques qu'il a pas de veste... pas très malin par les températures actuelles. Il sort d'où lui ? il a de quoi se payer une veste et il l'a met pas ? Le monde est mal fait... mais bon ça c'est pas le pire... le pire c'est...
Euh... ben ouais, t'es au chemin. J'aimerais bien continuer de peller avant de mourir de froid en restant plantée là...
Katarina sin miedo- Bonus Dé : 1
Multi-comptes ? : Césarine Florange
Messages : 91
Date d'inscription : 04/01/2021
Age : 30
Feuille de personnage
Inventaire et / ou réputation:
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Le lieutenant la reprit lors de sa salutation en lui affirmant qu'il n'avait que faire des titres et l'appeler par un simple "Alduis" lui suffisait. Nul besoin de lui dire qu'il pouvait juste la nommer "Leyria" alors. Vu comment il avait prit très facilement ses aises dans son salon pendant leur première rencontre, elle lui faisait confiance sur ce point. Justement, il se mit même à lui avouer qu'il tenait à l'état de santé de ses testicules et préférait ne pas être castré pour aujourd'hui. Elle ne put s'empêcher d'afficher un sourire amusé. Même si indirectement il lui rappelant à quel point elle avait fait preuve de barbarisme la dernière fois, il venait de réussir à la mettre à l'aise pour de bon. C'est bête mais au moins, elle était maintenant sûr que toute cette histoire avait été mise au clair et qu'il n'avait plus de rancune pour elle. Elle continua alors à le regarder, taquine.
- Ne vous inquiétez pas pour votre entrejambe. Dites vous qu'elles sont en sécurité maintenant et que je les épargnerais lors de notre duel.
Elle l'invita ensuite à le suivre jusqu'à la salle d'arme. Même si elle comptait sur ses compétences à l'escrime, au fond, elle ne faisait pas le poids contre un lieutenant des armées et qui a lui-même connu le front des batailles. Elle n'était encore qu'une amatrice et lui avait beaucoup plus d'expériences. Donc oui, elle était parfaitement consciences qu'elle allait à tous les coups perde ce duel amicale mais elle s'en fichait. Le plus important était qu'elle allait avoir la chance de pouvoir s'entraîner avec un professionnel et peut-être même apprendre d'autres techniques de combat que celles du baron Dyonis.
Sauf que sur leur chemin quelque chose ou plutôt quelqu'un les arrêta dans leur marche. Et cette personne était justement Katarina qui était en train de déblayer la neige sur l'allée. Leyria fut quelque peu surprise au début par cette façon d'engager une conversation mais en aucun cas, elle était dérangé par le fait que son invité se mette à porter son attention sur une esclave. Pourtant, la réponse de la concernée ne l'impressionna pas du tout et elle ne put s'empêcher de pouffer de rire (même si au fond, elle n'était pas mieux placer que lui...). Depuis qu'elle l'avait vu au marché aux esclaves, Katarina avait toujours eu du répondant et ce qui n'était pas pour déplaire la marquise héritière... Elle l'a trouvé très courageuse car malgré son statut d'esclave, elle restait déterminé et se défendait jusqu'aux bouts. Leyria adressa un sourire au coin à Alduis, en lui donnant un léger coup de coude. Elle lui dit à travers son regard, complice :
"Alors... Elle est pas mal, non ?"
- Ne vous inquiétez pas pour votre entrejambe. Dites vous qu'elles sont en sécurité maintenant et que je les épargnerais lors de notre duel.
Elle l'invita ensuite à le suivre jusqu'à la salle d'arme. Même si elle comptait sur ses compétences à l'escrime, au fond, elle ne faisait pas le poids contre un lieutenant des armées et qui a lui-même connu le front des batailles. Elle n'était encore qu'une amatrice et lui avait beaucoup plus d'expériences. Donc oui, elle était parfaitement consciences qu'elle allait à tous les coups perde ce duel amicale mais elle s'en fichait. Le plus important était qu'elle allait avoir la chance de pouvoir s'entraîner avec un professionnel et peut-être même apprendre d'autres techniques de combat que celles du baron Dyonis.
Sauf que sur leur chemin quelque chose ou plutôt quelqu'un les arrêta dans leur marche. Et cette personne était justement Katarina qui était en train de déblayer la neige sur l'allée. Leyria fut quelque peu surprise au début par cette façon d'engager une conversation mais en aucun cas, elle était dérangé par le fait que son invité se mette à porter son attention sur une esclave. Pourtant, la réponse de la concernée ne l'impressionna pas du tout et elle ne put s'empêcher de pouffer de rire (même si au fond, elle n'était pas mieux placer que lui...). Depuis qu'elle l'avait vu au marché aux esclaves, Katarina avait toujours eu du répondant et ce qui n'était pas pour déplaire la marquise héritière... Elle l'a trouvé très courageuse car malgré son statut d'esclave, elle restait déterminé et se défendait jusqu'aux bouts. Leyria adressa un sourire au coin à Alduis, en lui donnant un léger coup de coude. Elle lui dit à travers son regard, complice :
"Alors... Elle est pas mal, non ?"
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Il ne s'en faisait pas pour son entrejambe. Enfin, pas vraiment. Si elle pouvait éviter de chercher à l'émasculer une seconde fois, il lui serait tout aussi reconnaissant. Il se souvenait encore de la dernière fois et c'était bien suffisant pour lui passer l'envie de retenter l'expérience. Au moins Leyria semblait en de meilleures dispositions. Peut-être parce que cette fois, il n'avait pas les pieds posés sur la table … Qu'importe.
Un duel lui ferait du bien ! Il suivit donc son hôte. Jusqu'à croiser cette jeune esclave, qui dégageait le chemin de la neige. Pourquoi venait-il de s'arrêter pour la saluer ? Il n'en savait rien. Parfois, il lui passait de ces choses saugrenues par l'esprit qui devenaient impossibles à expliquer quelques instants plus tard.
La jeune femme sembla surprise de son intervention. Elle leva les yeux vers lui et soutint son regard sans broncher. La réponse eut le mérite d'être franche, mais Alduis n'aimait rien de plus que la franchise, justement. Au moins, les choses étaient claires. Il ne s'offusqua, d'ailleurs, pas le moins du monde de la familiarité avec laquelle elle lui avait parlé. Avec un demi-sourire, il se décala donc d'un pas sur sa droite en s'inclinant pour lui libérer le passage.
— Continue donc.
Il entendit Leyria pouffer et se retourna vers elle. Pour croiser un regard… complice ? Sérieusement ? Ce genre de coups d'œil qui demandait un avis sur quelque chose. Quelqu'un, en l'occurrence. Alduis revint vers l'esclave. Mouais, Eldred aurait certainement su apprécier à sa juste valeur les courbes de la jeune femme. Lui, il n'y avait pas à tergiverser, il les préférait décidément avec moins de poitrine, des cheveux plus courts et des muscles davantage développés.
Elle pouvait bien arrêter de déblayer la neige quelques minutes, non ? Il était sûr qu'il y avait plus intéressant à lui faire faire. Il se contenta de demander dans un premier temps une chose très simple.
— Comment tu t'appelles ?
Un duel lui ferait du bien ! Il suivit donc son hôte. Jusqu'à croiser cette jeune esclave, qui dégageait le chemin de la neige. Pourquoi venait-il de s'arrêter pour la saluer ? Il n'en savait rien. Parfois, il lui passait de ces choses saugrenues par l'esprit qui devenaient impossibles à expliquer quelques instants plus tard.
La jeune femme sembla surprise de son intervention. Elle leva les yeux vers lui et soutint son regard sans broncher. La réponse eut le mérite d'être franche, mais Alduis n'aimait rien de plus que la franchise, justement. Au moins, les choses étaient claires. Il ne s'offusqua, d'ailleurs, pas le moins du monde de la familiarité avec laquelle elle lui avait parlé. Avec un demi-sourire, il se décala donc d'un pas sur sa droite en s'inclinant pour lui libérer le passage.
— Continue donc.
Il entendit Leyria pouffer et se retourna vers elle. Pour croiser un regard… complice ? Sérieusement ? Ce genre de coups d'œil qui demandait un avis sur quelque chose. Quelqu'un, en l'occurrence. Alduis revint vers l'esclave. Mouais, Eldred aurait certainement su apprécier à sa juste valeur les courbes de la jeune femme. Lui, il n'y avait pas à tergiverser, il les préférait décidément avec moins de poitrine, des cheveux plus courts et des muscles davantage développés.
Elle pouvait bien arrêter de déblayer la neige quelques minutes, non ? Il était sûr qu'il y avait plus intéressant à lui faire faire. Il se contenta de demander dans un premier temps une chose très simple.
— Comment tu t'appelles ?
Alduis de Fromart- Aristocratie
- Fiche perso : Fiche.
Liens et RPs : Chronologie.
Bonus Dé : 5
Multi-comptes ? : Sylvère d'Aiguemorte / Victor Millard
Messages : 777
Date d'inscription : 05/05/2020
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Deux petites réactions à ta répliques. Leyria rigole, et l'inconnu devant toi s'écarte en souriant légèrement. Tient tu t'attendais à une réprimande... à croire que les potes de Leyria sont aussi moins sévères. Mais tu ne te formalisent pas plus que ça, et réempoigne ta pelle.
Merci...
Un ou deux nouveaux tas de neige vole loin de l'allée principale, alors que tu finis par tourner le dos au duo. Il faut que tu te rattrape niveau chaleur, car le fait de t'arrêter fait tout de suite revenir le froid à travers tes habits.
Mais apparemment, ils ne veulent pas que tu aies chaud et t'interrompe une seconde fois. Tu t'arrêtes et hésite un instant. Tu les ignores pour continuer et avoir chaud ou tu réponds à leur question, au risque de choper froid ? Bon, après, y a une de tes propriétaires devant toi, et si tu ne veux pas ajouter au mains grelottante la douleur d'une réprimande, tu te dis que peut-être il te faut obéir... Tu te retournes et tu lâches.
Katarina Monsieur...
Puis tu appuies le manche de ton outil contre ton épaule pour souffler dans tes deux mains jointes. Tu espères qu'il n'a pas encore trop de question, parce-qu'à ce rythme, il va aussi falloir te déblayer toi pour dégager l'entrée...
Merci...
Un ou deux nouveaux tas de neige vole loin de l'allée principale, alors que tu finis par tourner le dos au duo. Il faut que tu te rattrape niveau chaleur, car le fait de t'arrêter fait tout de suite revenir le froid à travers tes habits.
Mais apparemment, ils ne veulent pas que tu aies chaud et t'interrompe une seconde fois. Tu t'arrêtes et hésite un instant. Tu les ignores pour continuer et avoir chaud ou tu réponds à leur question, au risque de choper froid ? Bon, après, y a une de tes propriétaires devant toi, et si tu ne veux pas ajouter au mains grelottante la douleur d'une réprimande, tu te dis que peut-être il te faut obéir... Tu te retournes et tu lâches.
Katarina Monsieur...
Puis tu appuies le manche de ton outil contre ton épaule pour souffler dans tes deux mains jointes. Tu espères qu'il n'a pas encore trop de question, parce-qu'à ce rythme, il va aussi falloir te déblayer toi pour dégager l'entrée...
Katarina sin miedo- Bonus Dé : 1
Multi-comptes ? : Césarine Florange
Messages : 91
Date d'inscription : 04/01/2021
Age : 30
Feuille de personnage
Inventaire et / ou réputation:
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Le regard complice qu'elle lança, eut une réponse dans le même ton. Une sorte de "mouais". De son côté, Leyria la trouvait pas mal justement. Ce qui attirait le plus son oeil était les cheveux de Katarina : une longue et belle chevelure de jais ondulant sur ses épaules. Oula... La jeune femme reprit rapidement ses esprits. Il fallait mieux ne pas se perdre dans ses idées, surtout maintenant...
Elle laissa son invité et l'esclave s'entretenir entre eux, sans intervenir pour l'instant. Enfin..."s'entrenir" car après la pique de cette dernière, la conversation était bien vide. Leyria remarqua quelque chose qui la gêna grandement : Katarina avait froid. Non seulement, Venric l'avait envoyé faire un travail ingrat mais en plus, il avait l'air de se foutre royalement de l'état de santé des esclaves de la demeure. Car ce n'était pas avec ce bout de tissus qui servait de vêtement que Katarina allait pouvoir rester un minimum au chaud. En plein hiver en plus ! Il avait peut-être cette esclave dans le nez, ce n'était en aucun cas une raison pour la traiter ainsi. Bref... Elle irait de elle même lui toucher deux mots là dessus. Mais pour l'instant, elle devait essayer de trouver une solution. Dans le silence qui suivit, elle se mit à en chercher une dans son esprit. Puis, elle trouva. Presque fière de son idée, elle s'adressa d'abord à Alduis.
- Puis-je me permette de proposer quelques chose ? - elle continua - Accepteriez-vous que Katarina vienne nous rejoindre et puisse nous arbitrer lors notre duel ?
Elle s'adressa ensuite à la concernée.
- Ça te dirait, Katarina ? Ne t'inquiètes pas pour l'intendant, j'irais de moi même lui expliquer que tu n'as fait que suivre les ordres de la fille du marquis.
Elle laissa son invité et l'esclave s'entretenir entre eux, sans intervenir pour l'instant. Enfin..."s'entrenir" car après la pique de cette dernière, la conversation était bien vide. Leyria remarqua quelque chose qui la gêna grandement : Katarina avait froid. Non seulement, Venric l'avait envoyé faire un travail ingrat mais en plus, il avait l'air de se foutre royalement de l'état de santé des esclaves de la demeure. Car ce n'était pas avec ce bout de tissus qui servait de vêtement que Katarina allait pouvoir rester un minimum au chaud. En plein hiver en plus ! Il avait peut-être cette esclave dans le nez, ce n'était en aucun cas une raison pour la traiter ainsi. Bref... Elle irait de elle même lui toucher deux mots là dessus. Mais pour l'instant, elle devait essayer de trouver une solution. Dans le silence qui suivit, elle se mit à en chercher une dans son esprit. Puis, elle trouva. Presque fière de son idée, elle s'adressa d'abord à Alduis.
- Puis-je me permette de proposer quelques chose ? - elle continua - Accepteriez-vous que Katarina vienne nous rejoindre et puisse nous arbitrer lors notre duel ?
Elle s'adressa ensuite à la concernée.
- Ça te dirait, Katarina ? Ne t'inquiètes pas pour l'intendant, j'irais de moi même lui expliquer que tu n'as fait que suivre les ordres de la fille du marquis.
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Katarina, donc… que Leyria regardait avec… un certain intérêt. Il eut un sourire en coin, amusé, mais ne fit pas de commentaire. Pour l’instant.
Au fond, si Alduis n’avait pas préféré plus de muscles et moins de poitrine, il l’aurait certainement trouvé belle, lui aussi. Enfin… Toujours moins que sa sœur bien sûr ! Parce que personne ne pourrait jamais arriver à la cheville de Bérénice.
Alduis hocha la tête. Katarina ne se souciait pas outre mesure des convenances et cela lui allait très bien. Il préférait. Cela n’en restait pas moins que…
— Je m’appelle Alduis.
Qu’elle oublie les Monsieur, ou les Messire, dans un coin de sa tête. Son prénom était plus important pour lui que ces titres hypocrites et sans valeur. Il doutait fortement que Leyria s’insurge de ce comportement alors autant en profiter. De toute manière, il venait ici pour un duel, pas pour faire la causette au milieu d’une allée enneigée. S’il avait eu ce but, il ne se serait pas déplacé jusqu’à Phietom.
Katarina n’avait pas l’air réchauffé. Il devait reconnaître qu’il ne faisait pas chaud. Lui-même, sans veste, avec des vêtements de meilleure qualité, sentait la fraîcheur piquer sa peau. En fait, s’il avait pris de quoi se couvrir, il le lui aurait donné. Mais il n’avait rien pris.
Cependant, Leyria avait une idée, pour le moins originale, pour pallier à ce problème de vent frisquet. Proposer le rôle d’arbitre à cette Katarina. En lui demandant son avis à lui, en premier. Il haussa des épaules. Pourquoi pas. Il ne voyait rien à opposer à cela. En fait, il s’en fichait un peu. Si un arbitre avait pu changer l'issue concrète d’un duel, les choses se seraient sues. Il n’avait pas non plus l’intention de se montrer mauvais joueur.
— Très bien. Ça me va.
Mais il ne put pas s’empêcher d’ajouter, avec un sourire un brin malicieux :
— Sauf si je dois tenir la chandelle, bien sûr…
Sur ce, il se ré-engagea à grands pas sur l’allée. Oh, sûrement que Bérénice ou Alexandre lui aurait fait des reproches en l’entendant. Ce n’était pas des choses qui se disaient. Tant pis ! Personne ne semblait attaché aux convenances, ni Katarina, ni Leyria !
Au fond, si Alduis n’avait pas préféré plus de muscles et moins de poitrine, il l’aurait certainement trouvé belle, lui aussi. Enfin… Toujours moins que sa sœur bien sûr ! Parce que personne ne pourrait jamais arriver à la cheville de Bérénice.
Alduis hocha la tête. Katarina ne se souciait pas outre mesure des convenances et cela lui allait très bien. Il préférait. Cela n’en restait pas moins que…
— Je m’appelle Alduis.
Qu’elle oublie les Monsieur, ou les Messire, dans un coin de sa tête. Son prénom était plus important pour lui que ces titres hypocrites et sans valeur. Il doutait fortement que Leyria s’insurge de ce comportement alors autant en profiter. De toute manière, il venait ici pour un duel, pas pour faire la causette au milieu d’une allée enneigée. S’il avait eu ce but, il ne se serait pas déplacé jusqu’à Phietom.
Katarina n’avait pas l’air réchauffé. Il devait reconnaître qu’il ne faisait pas chaud. Lui-même, sans veste, avec des vêtements de meilleure qualité, sentait la fraîcheur piquer sa peau. En fait, s’il avait pris de quoi se couvrir, il le lui aurait donné. Mais il n’avait rien pris.
Cependant, Leyria avait une idée, pour le moins originale, pour pallier à ce problème de vent frisquet. Proposer le rôle d’arbitre à cette Katarina. En lui demandant son avis à lui, en premier. Il haussa des épaules. Pourquoi pas. Il ne voyait rien à opposer à cela. En fait, il s’en fichait un peu. Si un arbitre avait pu changer l'issue concrète d’un duel, les choses se seraient sues. Il n’avait pas non plus l’intention de se montrer mauvais joueur.
— Très bien. Ça me va.
Mais il ne put pas s’empêcher d’ajouter, avec un sourire un brin malicieux :
— Sauf si je dois tenir la chandelle, bien sûr…
Sur ce, il se ré-engagea à grands pas sur l’allée. Oh, sûrement que Bérénice ou Alexandre lui aurait fait des reproches en l’entendant. Ce n’était pas des choses qui se disaient. Tant pis ! Personne ne semblait attaché aux convenances, ni Katarina, ni Leyria !
Alduis de Fromart- Aristocratie
- Fiche perso : Fiche.
Liens et RPs : Chronologie.
Bonus Dé : 5
Multi-comptes ? : Sylvère d'Aiguemorte / Victor Millard
Messages : 777
Date d'inscription : 05/05/2020
Re: [3 janvier 1598] Les riches ne savent pas ce qu'il veulent
Sans que tu ne lui retournes la question, l'ami de Leyria se présente. Tu ne vois pas vraiment l'intérêt présentement de retenir son nom, car pour toi il n'est qu'un des nombreux invités du château qui viennent pour tout et n'importe quoi sauf toi, et qu'en ce moment, tu as un problème bien plus important que la mémoire d'une identité. Tu te dis que peut-être ta petite pause s'arrête là, que les deux vont poursuivre leur conversation bien au chaud pendant que tu termines ton déblayage, mais la maîtresse des lieux propose soudainement de te faire participer à leur activité.
Tu as un mouvement de surprise. Tu ne t'attendais pas à ça. Instinctivement, tes yeux se déplace sur l'homme qui approuve cette proposition, suivi d'une expression que tu ne comprends pas. Pourquoi il parle de chandelle ? Pour réchauffer la pièce ? Ils veulent que tu tiennes ça pendant qu'ils s'amusent, afin qu'ils aient un peu plus chaud ? C'est bien insuffisant pour faire monter la température, vaudrait mieux à ce moment-là que tu leur fasse un feu, comme tu sais bien les faire depuis petite.
Mais ce qui t'intrigue le plus, au delà du fait de tenir une chandelle, c'est que Leyria propose que tu arbitres leur duel... leur duel de quoi ? De ce qu'il parlait tout à l'heure et où t'as rien compris ? Parce-que toi, les seuls trucs que tu as arbitrées, c'est vos combat d'enfant dans ton village d'origine. Un arbitrage parfois partial tu l'avoues sans hésiter, mais bon c'était pour la bonne cause. Et puis, si tu arbitres, c'est que les deux devront suivre TES directives, TES décisions... voilà qui est inattendu ! C'est presque louche. Tu fais la navette entre les deux. Apparemment, ils attendent ta réponse, et toi tu attends d'avoir chaud... alors autant ne pas faire durer.
Je... je veux bien mais je connais pas les règles de votre truc là, ça va pas être embêtant ?
Tu as un mouvement de surprise. Tu ne t'attendais pas à ça. Instinctivement, tes yeux se déplace sur l'homme qui approuve cette proposition, suivi d'une expression que tu ne comprends pas. Pourquoi il parle de chandelle ? Pour réchauffer la pièce ? Ils veulent que tu tiennes ça pendant qu'ils s'amusent, afin qu'ils aient un peu plus chaud ? C'est bien insuffisant pour faire monter la température, vaudrait mieux à ce moment-là que tu leur fasse un feu, comme tu sais bien les faire depuis petite.
Mais ce qui t'intrigue le plus, au delà du fait de tenir une chandelle, c'est que Leyria propose que tu arbitres leur duel... leur duel de quoi ? De ce qu'il parlait tout à l'heure et où t'as rien compris ? Parce-que toi, les seuls trucs que tu as arbitrées, c'est vos combat d'enfant dans ton village d'origine. Un arbitrage parfois partial tu l'avoues sans hésiter, mais bon c'était pour la bonne cause. Et puis, si tu arbitres, c'est que les deux devront suivre TES directives, TES décisions... voilà qui est inattendu ! C'est presque louche. Tu fais la navette entre les deux. Apparemment, ils attendent ta réponse, et toi tu attends d'avoir chaud... alors autant ne pas faire durer.
Je... je veux bien mais je connais pas les règles de votre truc là, ça va pas être embêtant ?
Katarina sin miedo- Bonus Dé : 1
Multi-comptes ? : Césarine Florange
Messages : 91
Date d'inscription : 04/01/2021
Age : 30
Feuille de personnage
Inventaire et / ou réputation:
Sujets similaires
» [1 - 9 janvier 1598] A la source de la foi
» [1 janvier 1598] Un départ fracassant
» [11 janvier 1598] Retrouvailles à la forge
» [7 janvier 1598] Nouveaux horizons
» [12 janvier 1598] L'épreuve du marché
» [1 janvier 1598] Un départ fracassant
» [11 janvier 1598] Retrouvailles à la forge
» [7 janvier 1598] Nouveaux horizons
» [12 janvier 1598] L'épreuve du marché
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum