Journal d'Éléonore

Flashback mai 1575 : Aux origines d'une petite luciole
Ceci retrace l'histoire de ma famille juste avant ma naissance.
Solo

Flashback 1594-1597 : Alduis/Ariste
Ce flashback retrace la relation d’Ariste de Tianidre et d’Alduis de Fromart durant la conquête de Mornoy.
ft. Alduis

16 janvier : Un peu d'air frais pour libérer l'esprit
J'hésitais encore à l'impliquer, mais j'ai croisé Lavinia en me promenant près du marché... Je suis contente, elle semble mieux se porter.  
ft. Lavinia

19 janvier : Légitimité d'existence
Sous le coup d'une découverte vraiment atroce - je ne suis qu'une erreur -, j'ai quitté la maison et suis allée voir Alduis pour lui demander quelques renseignements.    
ft. Alduis

20 janvier : Au soldat sans-visage
Eléonore et Gabriel se rendent à la cérémonie aux Champs-Elysées    
ft....

29 janvier : La princesse de grand-père
En sortant des appartements de Coldris ce matin, j'ai croisé sa fille... dont je portais la robe.    
ft. Bérénice, Adéis

29 janvier : Une couturière à Fromart
Comme j'ai légèrement oublié de prendre des vêtement de rechange en quittant l'hôtel Tidrien, Coldris a fait venir une couturière pour refaire ma garde-robe. Je suis atrocement ennuyée.    
ft. Alexandre, Césarine, Bérénice

1er février : Quand la souris se croyait maligne
Je me promenais dans les jardins quand j'ai aperçut une silhouette qui s'introduisait dans le domaine : celle de la souris Cassantoinette qui a essayé de m'entrainer dans l'une de ses farces. Prise sur le fait - un peu à cause de moi - elle a défié Valmar qui l'a jetée dans l'eau glacée. Ne pouvant pas la laisser ainsi, je l'ai amenée dans ma chambre et lui ai fourni les premiers vêtements secs qui me tombaient sous la main. C'est ainsi qu'est venue la question des échecs...
ft. Cassandre, Valmar

6 décembre : Derrière la chute, la rencontre
Eléonore rencontre Nehalan à la bibliothèque dans une avalanche de livres. Le coeur n'y est pas, et l'intervention de Doran cassera définitivement toute envie de communiquer.
ft. Nehalan

10 décembre : L’amant disparu
Quelques jours après son arrivée à Braktenn, Eléonore se retrouve à Saint-Eustache. Elle y rencontre un Alduis en pleine crise, qu’elle tente d’aider. Ce sera finalement Eldred qui le ramènera à la réalité…
Pour qu’ils la laissent partir, Eléonore se retrouve obligée de jurer qu’elle ne dira rien. Sur la mémoire de son cousin Ariste, d’ailleurs, qui était un ancien amant d’Alduis. A noter que pour la première fois en 8 mois, elle a vraiment eu envie de survivre.
ft. Alduis, Eldred

14 décembre : La naïveté n’apprend pas de ses erreurs
Eléonore se rend à Fromart. Alduis “endormi”, c’est Coldris qui la reçoit. Une rencontre assez particulière - avec un homme d’une prestance rare - qui se solde par une invitation à dîner. Une folie pour le moins tentante… Au mieux, cela distrairait ses tourments, et le pire… Que peut-il encore lui arriver de pire ? Projet à méditer.
Eléonore a tout de même l’occasion de voir Alduis, avec lequel un lien commence à se créer, autour d’une conversation sur Ariste.
ft. Coldris, Alduis

16 décembre : Aveu d’amour posthume
Eléonore revient à Fromart. Elle doit faire part à Alduis d’une découverte importante : Ariste était vraiment amoureux de lui. L’annonce est bien sûr un choc, et Alduis manque de se perdre. Leur amitié n’en progresse pas moins.
ft. Alduis

17 décembre : Que ne faut-il pas inventer ?
Soucieuse de remercier Eldred, Eléonore se rend à Frenn, où elle a appris qu’il était esclave. Elle rencontre Dyonis sous prétexte de lui transmettre les félicitations de son oncle. Coup de chance : Eldred vient raviver le feu dans le salon. En narrant leur rencontre de manière détournée, elle lui fait comprendre qu’elle voudrait lui parler. Ce qu’elle fait immédiatement après avoir pris congé du baron. Elle lui offre aussi une broche - à revendre quand il en aura besoin - pour le remercier pour cette étincelle de vie revenue.
ft. Dyonis, Eldred

21 décembre : Pour un gant fugueur et des yeux embués
Eléonore retourne à Saint-Eustache. Grâce à un gant perdu, elle rencontre Lavinia de Kergemont, qui semble fort attristée. Dans sa bienveillance coutumière, Eléonore tente de la rassurer.
Lavinia part ensuite discuter avec Thierry, mais Eléonore, qui a un mauvais pressentiment, les suit jusqu’au bureau dans lequel le prêtre tente d’agresser Lavinia. Malgré une certaine angoisse, Eléonore réagit vivement, et ne cède certainement pas à l’intimidation. De toute façon, ce n’est pas pour ce que vaut la vie d’une femme “incapable, faible, inutile, lâche, égoïste et stupide” comme elle, n’est-ce pas ?
ft. Lavinia, Thierry

21 décembre : Une fois le danger écarté
Après l’agression, Eléonore conduit Lavinia chez elle et tente de la rassurer. Elles en viennent à discuter d’un mystérieux inconnu dont le nom est pourtant familier.
ft. Lavinia

22 décembre : Une recontre surprise
Eléonore passe à Saint-Eustache pour confronter Thierry. Elle y surprend Alduis et Alexandre dans une attitude plus que dangereuse. Passées les recommandations de prudence, les jeunes gens ont une conversation. Le courant passe bien.
ft. Alex, Alduis

23 décembre : Modeste présent
Errant sur le port, Eléonore croise Eldred. Elle essaie de déterminer si le Eldred de Lavinia et lui sont bien la même personne. Gagné ! Le zakrotien a un cadeau à lui offrir. Une boite qu’il a fabriquée. Avec un cours de runes en prime !  
ft. Eldred

23 décembre : Un agneau à la table du loup
Le grand jour est enfin arrivé : celui du dîner avec Coldris de Fromart. Eléonore s’y rend, partagée entre angoisse et impatience. Si la soirée commence sur un ton assez réservé, la jeune femme parvient tout de même à se détendre. Et même à occulter complètement sa douleur pour la première fois depuis longtemps. Entre légendes, baisers fougueux, interrogatoires et courses-poursuite, ce dîner promet de marquer sa mémoire. Tout comme l’homme, d’ailleurs, même si elle n’ose pas espérer qu’elle le reverra.
ft. Coldris

24 décembre : Confessions entre amies
Eléonore se rend chez Lavinia pour converser à l’abri des oreilles indiscrètes. Le sujet principal ? Eldred, évidemment !  
ft. Lavinia

26 décembre : Ce que l’on ne pouvait cacher
Alduis vient voir Eléonore avec un lourd aveu à faire : c’est lui qui a achevé Ariste. Sous le choc, Eléonore éclate en sanglot et dit toutes les horreurs qui lui viennent - la plupart étant adressées à elle-même. Alduis est mis à la porte, et malgré ses protestations, pas moyen de le rejoindre pour revenir sur ses paroles cruelles.  
ft. Alduis

2 janvier : Reconnaissance d’un lourd aveu, reconnaissance d’un geste d’amour
Eléonore vient s’excuser auprès d’Alduis pour sa réaction à son dernier aveu… Elle n’ose même pas espérer une réconciliation, mais pourtant, Alduis lui pardonne. Pour lui prouver qu'elle-même ne lui reproche rien, elle lui offre l'une des dagues d'Ariste. Il l'étreint pour la remercier.
ft. Alex, Alduis

3 janvier : Que dansent pour elle tes lames
Jean m'a aidée à sortir, ce matin. J'ai rencontré un garçon sympatique, un jeune esclave. Il faisait des tours de magie. Je crois que je lui ai un peu trop parlé... Quelle idiote ! Mais en réalité, je crois qu'on se comprend assez bien. Lui aussi, il joue avec des couteaux, il va peut-être m'apprendre des tours. Je me rends compte de plus en plus que même si je suis épouvantablement insupportable et que je m'en veux beaucoup après, voir des gens me permet d'aller un peu mieux, au moins un petit temps. Oh, et il m'a fait une prédiction, aussi : selon lui, il m'arriverait bientôt de grandes choses côté sentimental. Ce serait une curieuse coïncidence, mais il n'y a franchement aucune chance que cela se réalise.
ft. Tristan

4 janvier : Requiescat in pace
Vivement encouragée par Eltinne, Eléonore se rend sur la tombe de ses parents. Pas le temps de l’atteindre qu’elle aperçoit Coldris et… ne peut résister à la curiosité de savoir sur quelle tombe il peut bien se recueillir.
Repérée, c’est avec un poignard sur la gorge, puis une démonstration de colère qu’elle accueille l’homme avant d’essayer de lui fausse compagnie. C’était sans compter sur l’intervention d’Eltinne, qui la pousse à changer ses plans. Et la voilà en route pour Fromart avec Coldris !
Si des sujets délicats sont abordés, le trajet n’en demeure pas moins agréable. Ils se rapprochent.
ft. Coldris

4 janvier : En parfaite santé, finalement
L’arrivée à Fromart lance une bataille de boule de neige, qui finit en baiser passionné pour Coldris et Eléonore… Sauf qu’Alduis les surprend. Une plaisanterie mal comprise, et voilà que le père et le fils entrent en conflit… Jusqu’à ce dernier soit prié de quitter le domaine. Eléonore va consoler son ami, et lui propose de l’accueillir le temps que ça se tasse. Elle enverra à Coldris toute bienveillante pour lui expliquer la situation et essayer de l’apaiser.
ft. Coldris, Alduis

5 janvier : Plates excuses d’une sauveuse
Pour empêcher Thierry de récidiver, Eléonore décide d’aller parler à Dyonis de l’aggression de sa fille - elle craint de la trahir, mais trouve cela nécessaire pour la protéger. Celui-ci lui promet de réagir. En sortant, elle croise Lavinia qui lui demande de l’accompagner à Saint-Eustache pour se confronter à ce qu’elle a vécu.
ft. Dyonis, Lavinia, Eldred

5 janvier : Pour affronter ses démons
Après un trajet durant lequel Lavinia n’a pas manqué de lui parler d’Eldred, Eléonore à Saint-Eustache. Sur le parvis, elle croise Léonilde qui lui remet un message. Aussi enthousiaste que perdue, Eléonore entreprend de se confier à ce propos… Mais c’était sans compter sur l’irruption de Thierry ! Eléonore réagit vivement, mais c’est finalement grâce à Eldred, qui les avait suivis, que le refus est intégré par le prêtre…
ft. Lavinia, Thierry, Eldred, Lucinde

6 janvier : Suivez le chat
Alors que j'étais sortie, ma robe a été attaquée par une adorable petite boule de poils, sitôt récupérée par sa maîtresse... Celle-ci semblait catastrophée, mais... il n'y avait pas de raison, ce n'était pas grave
ft. Claire-Marie

8 janvier : “Griefs of mine owm lie heavy in my breast”
Eléonore rejoint Coldris au théâtre, où ils vont découvrir la toute nouvelle pièce de Shakespeare : Roméo et Juliette. Commentaires, confidences, promenade… Le doute s’impose : et si c’était davantage qu’un simple jeu ? La pièce n’obtient certainement pas l’attention qu’elle aurait méritée… et aucun n’avait imaginé que cette sortie finirait si mal.
ft. Coldris

12 janvier : Les nouvelles qu’on demande et celles auxquelles on fait la sourde oreille
Informée des dernières mésaventures de Lavinia, Eléonore décide d’aller lui rendre visite… et ce même si elle se trouve à Fromart. Eléonore découvre que son amie a bien plus d'ennuis qu'elle ne l'avait cru.
ft. Lavinia

12 janvier : celle que tous couvrent d'éloges
En quittant Lavinia, Eléonore rencontre la fameuse Bérénice dont on lui avait tant parlé. Celle-ci lui laisse entendre que sa relation avec son père n’est peut-être pas aussi terminée qu’il n’y paraît - quitte à la décrire avec des mots tout à fait insensés. En confiance, elle lui fait également part d’un de ses secrets les mieux gardés.
ft. Bérénice

13 janvier : Interprète pour cœurs aveugles
Grâce à l'intervention de Léonilde, Eléonore vient voir Coldris à Cervigny. Elle ne s'était certainement pas attendue à un accueil si enthousiaste. Elle parvient aussi à mettre des mots sur la folie qui l'attire dans ses bras : elle l'aime. Même si elle sait que ce ne sera jamais réciproque, elle se l'est avoué. Il ne reste plus qu'à profiter du temps qu'il accepte de lui accorder avant de la rejeter - parce que ça ne devrait plus tarder. Du temps qu'elle espère mettre à profit pour lui rendre tout l'apaisement qu'il lui apporte. Il mérite tellement d'être heureux.
ft. Léonilde, Coldris





17 et 18 janvier : La charmante obligation de fin de semaine
Après presque quatre jours d'attente insurmontable, je suis allée retrouver Coldris au manoir du Moulin. C'était la première fois que nous restions si longtemps ensemble. J'ai passé une excellente journée. Evidemment, je ne passais pas la nuit là-bas uniquement pour jouer aux échecs jusqu'à pas d'heure, et cette fois, il n'y avait rien pour nous empêcher d'en profiter - pas des échecs. Mais il s'est passé une chose à laquelle je ne m'attendais vraiment pas : en plein milieu de la nuit, alors que je venais de l'entendre dire que tout était terminé, il m'a expliqué que ce n'était qu'un malentendu et qu'il m'aimait... Je ne saurais décrire le bonheur que j'en ai ressenti, même si j'ai encore du mal à croire qu'une telle chose soit possible.    
ft. Coldris

19 au 27 janvier : Ce qui nous lie et nous divise
Gabriel est arrivé de Tianidre. Je suis une mauvaise amie. Même pas capable de réparer ce qui est brisé entre nous. Voilà le récit de notre cohabitation, de mes découvertes les plus difficiles, de nos tentatives de réconciliation et, enfin, d'une cassure dont je crains qu'elle ne soit réellement irréparable... 
Solo, avec Gabriel

21 janvier : Une communication pour Mlle de Tianidre
Au lendemain de cette cérémonie atroce, une petite souris est venue me porter un message de Coldris. Un peu trop curieuse à mon goût, j'ai légèrement joué avec son interprétation de la situation. Je n'ai manifestement rien perdu de mon talent, seulement... quelque part, je m'en veux un peu.
ft. Cassandre

23 janvier : Lumière sur les tourments d'une petite luciole
Après les excuses publiques de cette espèce de... de... de... enfin, de Thierry d'Anjou, il est enfin temps de retrouver Coldris. Seulement, il a fallu qu'il revienne dans la conversation pour provoquer une dispute atroce. Sans doute est-ce terminé, maintenant...
ft. Coldris

Nuit du 27 au 28 janvier : Cette étincelle jaillie sans préavis
Avec la complicité de Jean, j'ai fugué en pleine nuit pour aller à Fromart. J'y ai trouvé Coldris dans un état peu flatteur, mais ce n'est pas bien grave, je l'aime tant, je n'aurais pas pu le laisser tout seul. Quand nous nous sommes réveillés, l'impensable est arrivé : il m'a demandé de l'épouser et je suis tellement stupide que j'ai réussi à le fâcher.    
Léonilde, Coldris

28 janvier : S'il faut avoir infiniment confiance
Coldris est revenu après avoir travaillé, il s'était apaisé. Nous avons pu en reparler, mais surtout, je l'ai assuré de la confiance que je lui portais et lui ai avoué quelques petites choses. Confiance qu'il a pris pour une invitation à me trimballer les yeux bandés dans tout le domaine - je dois avouer que c'était drôlement amusant. Ensuite, il m'a parlé des choses moins glorieuses de sa vie et m'a ouvert son bureau. Il en doute peut-être encore, mais quoi qu'il ait pu dire, je sais que je resterai.    
Coldris